1. Marie - Ange & Démon (3)


    Datte: 31/05/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: FredM, Source: Xstory

    ... de la fellation. Elle suçote ! Elle léchouille! Sa main travaille plus que sa bouche, et c’est à peine si mon gland trouve grâce pour qu’elle me le gobe. C’est ce que je vois aussi avec cet homme. À mesure que la bitte se tend, Marie recule pour n’en garder que l’extrémité en bouche. Je vois sur le visage de l’homme qu’il lui parle et manifestement il lui demande de se mettre non pas agenouillé, mais à quatre pattes. Je la vois obéir, mais aussi mettre une main dans le dos. Elle est en équilibre précaire. Seules sa main sur le fauteuil et sa bouche sur la queue la retiennent de partir en avant.
    
    Aahh…! Je n’avais pas remarqué que l’homme tenait une cravache. Il vient de l’abattre sur la croupe de la chienne qui le suce. Le coup a surpris Marie qui a dû émettre un cri
    
    Un coup, puis un autre, encore un, encore, encore. Si Marie a été surprise par le premier, il est évident que ce genre de "caresses" lui sont familières car elle ne s’enfuit pas. J’aimerais être plus près et surtout ne pas avoir ce rideau qui bouge d’un courant d’air malencontreux pour voir si ses mouvements de la croupe sont des tentatives d’esquiver ou plutôt de venir au-devant.
    
    Mais l’homme abandonne sa cravache. Il attrape la main de Marie pour lui mettre dans le dos et rejoindre sa sœur. L’équilibre est plus qu’instable et manifestement c’est ce qu’il cherche. Il place maintenant ses propres mains autour de la tête de la chienne et la force à avancer sur sa queue. Elle doit résister, mais l’homme ...
    ... est bien plus fort qu’elle, s’ajoutant au déséquilibre qui ne peut que la pousser vers le bas.
    
    Longuement l’homme se fait sucer. Poussant les lèvres jusqu’à ce qu’elle bute, enfin c’est ce que j’imagine du fait de ce que je peux en voir, oui, elles butent sur les couilles. S’il relâche sa pression, Marie ne peut même pas se relever seule. D’ailleurs, c’est assez surprenant qu’elle ne fasse pas un geste. Il lui suffirait de poser une main au sol ou sur le fauteuil pour reprendre un peu de liberté de mouvement.
    
    Mais non, c’est l’homme qui la relève le temps qu’elle reprenne sa respiration, crachant, toussant, bavant des flots de salive avant qu’il ne la fasse replonger. Combien de temps cela dure-t-il ? Je ne sais pas. Ce que je regrette c’est de ne pas avoir amené mon appareil photo avec le zoom, le smartphone ne rapprochant pas assez, pour immortaliser cet instant autant pour moi que pour Marc qui serait sidéré de voir sa copine, pute et chienne se faisant baiser par la bouche.
    
    Une bouche qui reçoit manifestement le foutre de l’homme.
    
    Une bouche qui ne peut qu’avaler la liqueur sous les yeux de son client.
    
    Je dis client, car je comprends que Marie arrondi ses fins de mois en recevant des hommes chez elle, et que le lundi est son jour de "pute".
    
    Mais manifestement l’homme n’en a pas fini avec elle car il se lève et l’entraîne vers ce que je sais être le lit qui est malheureusement hors de vue pour moi.
    
    La salope. Oh, elle peut aller à l’église avouer ses ...
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