Marie - Ange & Démon (3)
Datte: 31/05/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: FredM, Source: Xstory
... péchés. Pourtant, j’avais compris qu’elle avait un bon salaire. La Sainte Nitouche ferait-elle cela pour l’argent, mais aussi pour satisfaire des envies qu’elle n’ose pas avouer à Marc et à moi dans la foulée ? Mais peut-être que Marc était au courant. Mais non, il me l’aurait dit et s’il savait que Marie était si vicieuse il n’aurait pas été chercher ailleurs pour plus de fantaisies sexuelles.
Je veux connaître la vérité. Je laisse le couple dont je ne devine maintenant que des taches noires et blanches le temps de leur baise. Le temps me parait long et puis ils réapparaissent. Alors je me décide. Je descends les escaliers quatre à quatre et vais guetter le départ du client. Il est bien comme je l’ai entrevu, petit, gras et vieux.
Je monte les escaliers de son immeuble, frappe à la porte:
— Oui. J’arrive.
La porte s’ouvre.
— Tu as oublié quelque chose ?
Demande la pute qui m’apparaît encore dans les dessous de son métier. Mais elle voit que ce n’est pas son client.
— Fred….Euh….Qu’est-ce que tu fais là ?
Ce n’est pas la Marie que je connaissais. Celle-ci, la pute, est toujours en bas et porte-jarretelles, les seins et la chatte nus. Encore ce n’est pas cela qui est étrange, beaucoup de femmes peuvent s’habiller ainsi et même beaucoup plus "sexe" pour leur mari ou leur amant. Non, c’est son visage. Décoiffée, maquillée, les lèvres rouges, les yeux mouillés, des traces sur le visage de ce qu’elle a fait.
— Je me demandais pourquoi tu ne voulais ...
... pas que je vienne le lundi. Je sais maintenant, tu fais la pute.
J’ai dû dire "pute" sur un ton un peu fort car elle regarde vers l’escalier et semble inquiète.
— Pas si fort. Entre, je vais t’expliquer.
La porte refermée je continue.
— Pas la peine de m’expliquer. Je sais tout. J’ai tout vu.
— Tu as vu ? Mais de quoi tu parles ?
Je lui saisis le poignet et l’entraîne avec moi. Arrivés dans la chambre, je tire le rideau et dis:
— En face. Par la lucarne de l’escalier on a une très belle vue sur ta chambre et en particulier sur le fauteuil.
Elle comprend.
— Oh !
— Tu vois, je sais. Je me demande juste si tu fais la pute pour de l’argent ou par vice ?
Un instant elle parait effondrée. Elle s’assied sur le lit. Un long silence où elle me regarde. Le lit est en bataille et pourrait raconter ce qui s’est passé. Je m’assois sur le fauteuil. Je sais que ce n’est qu’une impression, mais il me parait encore chaud du postérieur du client.
— Je ne fais pas la pute. C’est mon boucher.
— Un boucher ! Il en a bien l’allure. J’espère pour toi que tes autres clients sont plus jeunes et moins laids.
— Je te dis mon boucher. Celui qui a le magasin un peu plus loin dans la rue.
— Bon d’accord, mais cela ne me dit pas si c’est pour l’argent ou par vice. Et avec ton Dieu cela ne pose pas de problème ?
Elle regarde le christ accroché au-dessus du lit.
— Il comprendrait. Et, revenant vers moi : Georges me fait chanter.
— Comment cela il te fait ...