Marie - Ange & Démon (3)
Datte: 31/05/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: FredM, Source: Xstory
... avoir une occupation récurrente le lundi en fin de journée, voir des amies, pratiquer un sport, etc…Mais, comme la semaine dernière, son regard est fuyant et elle ne donne aucune explication, même lorsque je la câline en lui disant tendrement :
— Quel dommage. Une soirée sans toi ! Tu vas me manquer !
C’est le :
— Je suis désolée, moi aussi j’aurais aimé, mais vraiment je ne peux pas….Silence…Cela ne dépend pas de moi.
Le lendemain je me libère plus tôt pour venir dans son immeuble. En réalité dans l’immeuble d’en face, qui donne sur sa chambre. J’avais fait remarquer à Marie qu’elle ne fermait pas les rideaux totalement alors que nous baisions dans sa chambre et elle m’avait répondu :
— En face, il n’y a que les deux premiers étages d’occupés. Personne ne peut nous voir.
C’est vrai que les volets étaient fermés, mais pas les lucarnes de la montée d’escalier et c’est là que je m’installe. J’ai même emprunté des jumelles au gardien du chantier, Abdou, en prétextant une envie de regarder les oiseaux.
Le temps passe. Personne! Je ne vois même pas Marie. Je me suis peut-être fait un film, elle est sortie. Et puis, par le peu d’espace que laissent les rideaux je la vois entrer suivie d’un homme. Un homme assez âgé, bedonnant qui s’installe aussitôt dans un fauteuil. J’arrive à voir son visage. Il doit bien avoir la soixantaine. Manifestement il attend. Je ne peux que deviner Marie derrière un rideau, mais lorsque je vois une robe tomber aux pieds de l’homme ...
... je comprends qu’elle lui fait un strip-tease. Les deux morceaux de tissus qui la suivent me font penser que ce sont ses dessous. Et ce n’est manifestement pas un déshabillage rapide, mais bien une démonstration de la femme car entre chaque pièce de longues secondes sa passent. Ce coin de la chambre m’est peu visible! Si j’avais su, hier, j’aurais repoussé les rideaux. De Marie je ne vois qu’une ombre, une ombre discontinue, mais alors qu’elle avance plus près de l’homme je la découvre un peu mieux. En réalité elle n’est pas nue et comme ce qui la recouvre partiellement est noir, le contraste la souligne parfaitement.
Elle porte un porte-jarretelle et des bas noirs. Ce n’est plus la Marie que je connais même si la lingerie qu’elle porte avec moi est assez aérienne pour être coquine, non c’est une Marie séductrice avec un côté un peu pute ou en call-girl qui s’expose ainsi pour exciter son client. Un client qui d’un geste sans équivoque lui montre qu’il faut qu’elle le suce.
Commence alors une scène qui, si elle est des plus classique dans un couple, est ici manifestement chargée de symboles, la femme devant s’agenouiller devant ce « vieux », lui défaire la braguette, tirer sur un slip et en extraire une verge encore molle. Il bande même pas alors que moi, voyeur d’un spectacle tronqué, je me fais une érection.
Marie se penche sur le morceau encore flasque et se charge de le caresser. J’ai constaté, comme Marc me l’avait d’ailleurs déjà dit, que Marie n’est pas une pro ...