1. Orage


    Datte: 31/05/2019, Catégories: fh, autostop, pénétratio, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... :
    
    — Vous avez une jolie montre, vous ne la portez pas ?
    — On m’a dit de l’enlever avant l’opération et personne ne m’a autorisé à la remettre.
    — Si vous voulez, vous pouvez la reprendre, elle ne gêne pas pour les soins.
    — Bon, voulez-vous me la passer s’il vous plaît.
    
    Elle la lui donne, attendant pour savoir à quel bras il va la mettre. Au bras droit ! C’est lui ! Après mes repos, je lui rapporte sa clé. Il a probablement oublié notre rencontre, il sera surpris et content.
    
    Quand elle a repris son service, le surlendemain, elle va dans la chambre. Mais il y a un jeune d’une quinzaine d’années, heureux de voir une si charmante soignante.
    
    C’est fini, ton rêve est terminé. Elle regrette de ne pas avoir pu lui rendre son bien. Elle pourrait avoir ses coordonnées, mais, n’étant pas certaine que ce soit lui, elle ne va pas le relancer. D’ailleurs, il a dû oublier la perte de la clé, depuis le temps.
    
    Les infirmières effectuent en principe au moins un mois par an le service de nuit. Cela permet à celles qui les assurent toute l’année de venir travailler de jour pour se tenir au courant des dernières pratiques.
    
    La troisième nuit qu’elle effectue, on a amené un accidenté de la route. Les urgences ont jugé son cas grave et le chirurgien de garde, est venu opérer. À la fin de l’intervention, il est quatre heures.
    
    — Je ne vais pas rentrer chez moi, pour quelques heures. Je vais m’allonger ici. Tu as une chambre de libre.
    — Oui, la vingt-quatre.
    — Dis à ton aide ...
    ... soignante de ne pas me déranger. Et apporte-moi un café.
    
    Elle lui obéit, revient la tasse à la main. Le toubib, la quarantaine, célibataire, beau comme un dieu, est en boxer, prêt à se coucher. Elle va poser la tasse sur la table de chevet, tournant le dos au toubib. À cet instant, elle sent deux mains qui lui empoignent les seins. Cela ne la surprend qu’à demi compte tenu de la réputation du praticien. Elle-même est en manque de mâle depuis plus de six mois. Elle le laisse faire.
    
    Glissant les mains sous la veste, il remonte d’abord les bonnets du soutien-gorge puis empoigne la poitrine, la poussant contre le lit. Elle se trouve à plat ventre sur le drap, les jambes au sol. Libérant ses mains, il lui baisse le pantalon et la culotte par la même occasion. Et elle sent entre ses fesses la dure barre de son désir.
    
    Avec lui, pas de préliminaires se dit-elle, mais tant pis. Il frotte son sexe un moment dans la fente, provoquant la lubrification. C’est ce qu’il attendait. Elle sent s’enfoncer en elle la tige dure. Mais, s’il a négligé les préambules, le praticien se révèle un artiste du coït. Il la lime lentement, ses mains pinçant les boutons des seins. D’abord agréable, la queue lui provoque rapidement une excitation délicieuse. Elle sent monter le plaisir, mais il ralentit. Plusieurs fois il l’amène ainsi au bord de l’extase, puis finalement lui fait connaître un orgasme formidable. Pourtant lui n’a pas joui. Il s’immobilise un instant puis reprend la cavalcade. Autant le ...
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