1. Orage


    Datte: 31/05/2019, Catégories: fh, autostop, pénétratio, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... pluie a momentanément cessé. Mais le vent fait tournoyer les branches de l’arbre le plus proche projetant des ombres inquiétantes à travers les persiennes. Anne, terrée dans le lit ne peut trouver le sommeil. Soudain des éclairs et un bruit sourd au loin. Elle est terrorisée. Brusquement les lumières extérieures s’éteignent, c’est le noir complet.
    
    Une déflagration soudaine, Anne se précipite vers son compagnon, l’agrippant, les bras autour de son cou, la tête blottie contre lui. Il était éveillé et n’est pas surpris par cette agression. Celle-ci est particulièrement agréable.
    
    La fille sent bon, son corps crispé mais doux s’imbrique dans le sien. Il essaie de penser à l’orage, mais son sexe n’obéit pas à sa tête. Il ne peut bouger, les jambes de la fille enserrent les siennes.
    
    Pendant un long moment, c’est un déluge qui s’abat, ponctué d’éclairs et tonnerre. Puis la tempête poursuit son chemin, s’éloigne. Pourtant, Anne reste toujours contre lui. Il essaie de l’éloigner, mais elle refuse.
    
    — Laissez-moi, sinon je ne réponds de rien, je ne suis pas de bois.
    
    Elle sent un objet bien dur contre son ventre. Mais elle est si bien, se sent protégée. Pour toute réponse, elle remonte sa tête et vient l’embrasser. Sa bouche se pose sur celle de l’homme sans la pénétrer. Alors, abandonnant toute retenue, il l’embrasse vraiment. Elle semble inexpérimentée. Il caresse ce corps magnifique, il voudrait mais ne peut toucher les seins collés contre son torse. Une main descend ...
    ... sur les fesses. De l’autre, il éloigne un peu son sexe et caresse l’entrejambe d’Anne. Mais de la main, elle l’écarte, saisit le bâton se place et descend lentement dessus. Le gros engin peine à entrer dans le conduit. Elle parvient à tout absorber, reste immobile, s’habituant à la présence masculine. Puis elle se met lentement à bouger.
    
    — Oh, Jean, je suis bien, c’est bon.
    
    Il la prend aux hanches et règle la cadence. Son doigt vient caresser l’arrière. Elle est un peu crispée, mais il prend son temps, sent monter chez sa partenaire le plaisir. En homme expérimenté, il suce son doigt et, quand il la sent prête, il glisse son doigt dans le conduit interdit. Et elle explose.
    
    — Jean, oh Jean, c’est bon, c’est merveilleux. Jamais tu ne m’avais fait ça ! Jamais ne n’avais connu un tel bonheur.
    
    Elle s’écroule sur son partenaire, repue de plaisir. Il la caresse doucement. Elle sombre dans le sommeil.
    
    Il faut plusieurs coups frappés à la porte pour qu’Anne réagisse enfin. Où est-elle ? Puis les souvenirs lui reviennent.
    
    — Entrez.
    
    Une jeune soubrette en robe noire avec tablier et bonnet blanc entre, un plateau dans les mains chargé d’un copieux petit déjeuner. Elle le pose sur la table basse près du lit.
    
    — Merci.
    
    Et la servante se retire.
    
    Mon dieu, mais où est-il ? Peut-être dans la salle de bain. Anne enfile sa chemise, s’approche, frappe, rien. La pièce est vide. Elle en profite pour se doucher. Soudain elle réalise : il est parti avec ma voiture. Elle ...
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