1. L'île aux cochons (1)


    Datte: 28/05/2019, Catégories: Erotique, Auteur: Alix, Source: Xstory

    ... vieille bâtisse, nous nous serrions l’une contre l’autre.
    
    L’orage apaisé, comme je tremblais encore, Clara m’embrassa tendrement sur les lèvres. C’était doux et agréable. Je n’y vis pas malice jusqu’à ce que la perverse lady effleure mon bouton d’amour d’un doigt léger. Surprise, j’avais serré les cuisses, honteuse du délicieux frémissement qui parcourut mon ventre.
    
    — Comme tu es sensible ! Ton bouton est plus gros que le mien ! J’aime ! Souffla Clara, en m’embrassant de nouveau sur les lèvres.
    
    — Arrête, s’il te plaît ! C’est sale !
    
    — Mais non, idiote ! C’est ce que disent les frigides. Il n’y a rien de sale dans l’amour.
    
    — Oooh ! Laisse-moi, je t’en prie. Je protestais trop faiblement pour qu’elle me prenne au sérieux.
    
    — Je vois bien que tu aimes ça, coquine. Souffla la corruptrice à mon oreille, en limant doucement l’entrée de mon vagin humide avec son pouce.
    
    — Huum ! Je gémis malgré moi.
    
    — Ça te plaît, là aussi ? C’est là que les garçons mettent leur truc.
    
    — Non, arrête ! Je soupirais, en ouvrant davantage les jambes.
    
    Je haletais de plaisir lorsque Clara m’embrassa à pleine bouche. Ses lèvres et sa langue avaient un goût salé.
    
    — C’est la mouille de ta chatte. Tu coules comme une fontaine.
    
    — Ne dis pas ça ! Tu me fais honte !
    
    — À ton tour de me lécher la moule, coquine !
    
    Excitée plus que je n’aurais voulu par les mots crus de ma douce amie, j’obéis, en tremblant. Sa chatte avait un goût sauvage qui m’excita. Chaque nuit, elle me ...
    ... pervertissait davantage en me faisant découvrir de nouveaux délices. Clara me mettait dans un tel état d’excitation qu’elle faisait de moi ce qu’elle voulait. Ce que j’appréciais le plus, à part sa langue douce et chaude sur mon clitoris, était qu’elle pistonne, simultanément, l’entrée de mon vagin et de mon anus.
    
    Elle étouffait mes gémissements en pressant sa chatte juteuse sur ma bouche.
    
    Nous nous étions pratiquement pas quittées depuis. Nos jeux érotiques nous permirent de résister à ces obsédés de garçons, plus stupides et grossiers, les uns que les autres, qui ne pensaient qu’à une chose, nous enfiler vite fait sur la banquette arrière de leur voiture de sport.
    
    Je fus réveillée en pleine nuit par les cris et les cavalcades qui résonnaient sur le pont. Affolée, j’enfilais un peignoir et sortis voir ce qui se passait. C’était la panique à bord. Des flammes surgissaient d’une bouche d’aération. Le capitaine hurlait des ordres. Les matelots courraient dans tous les sens. Il y eut une explosion puis une seconde. « Évacuez le navire ! »
    
    Edouard surgit et me prit dans ses bras. Il me porta là où était le canot de sauvetage. Un quart d’heure après, le navire en flamme s’enfonçait dans les eaux noires sous mes yeux effarés et les gémissements de désespoir de l’équipage.
    
    Des bruits de grosses bulles éclatant à la surface de la mer, raisonnèrent encore quelques minutes dans l’obscurité, puis se fut le silence.
    
    Le canot était trop petit pour tous les occupants et ...
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