La garce malgré elle
Datte: 27/05/2019,
Catégories:
f,
fh,
jeunes,
nympho,
grossexe,
groscul,
forêt,
amour,
fsodo,
fouetfesse,
Auteur: Alcibiade, Source: Revebebe
... rêve et son érection est impeccable. Elle résiste à l’envie de le réveiller ; le vaillant guerrier a droit au repos, surtout au vu des prouesses accomplies cette nuit, mais elle espère bien qu’à son réveil il sera au sommet de sa forme… Elle a un sourire attendri en voyant que sa barbe a poussé. Le beau gosse a un air plus viril comme ça. Elle écarte une mèche sur son front, puis contemple le grand corps sportif. Comme fille elle serait plutôt du genre dynamique et costaud, mais hier soir, perchée sur ses hauts talons, engoncée dans sa jupe, elle s’est sentie sans défense, lente, grasse et molle. Pourtant c’est ainsi qu’il la veut, c’est ainsi qu’elle lui plait, c’est ainsi qu’à son contact, cette belle queue prend une consistance de piquet de chantier. Dans une imperceptible caresse, elle ne fait qu’envelopper de la bouche le sexe épais. Elle doit se faire violence pour le libérer. En revanche, comme elle se sent le vagin complètement inondé, elle se masturbe assise, les jambes en tailleur, en couvant son mâle des yeux.
Il ne faut pas trente secondes avant que le plaisir se mette à monter. D’ordinaire elle fait un peu traîner les choses, histoire de louvoyer dans ses sensations, mais là c’est d’une telle violence qu’elle ne cherche pas à résister. Après l’explosion, c’est à peine si elle fait une pause. Elle change juste de position, approchant son visage du sien jusqu’à le toucher. Elle entend sa respiration profonde et régulière. Tout en se caressant, elle pose une ...
... main très légère sur le cou du garçon et sent nettement les battements tranquilles de son cœur. Elle s’offre un second orgasme démentiel, roulant de l’autre côté pour ne pas le réveiller.
Avec une pareille faim au ventre elle aurait pu continuer très longtemps. Elle était la mieux placée pour savoir jusqu’à quelles extrémités sa vigueur de fille pouvait la mener et il y avait des jours, comme aujourd’hui, où l’endurance de la féminité prenait des allures de fatalité. Mais somme toute, ces plaisirs solitaires en série ne lui étaient pas d’un grand secours, ce n’était qu’un pis-aller. C’est de lui dont elle avait besoin, de ses muscles, de sa grosse queue, de sa barbe qui allait la piquer tout à l’heure, de sa force, de sa douceur, de ses regards, de sa voix, de sa bouche, de ses grandes mains. Au fond le plaisir en soi, isolé du reste, ne comptait pas plus que ça. Qu’est-ce que c’était, comparé à sa chaleur et au contact de sa peau ? Elle décida de l’attendre et pour en finir, se posa sur le bidet, rinçant son minou poisseux à l’eau froide.
Le remède ne soigna pas sa tête, qui demeura pleine d’Éric et noyée dans le sexe… En préparant le café elle s’interroge.Folle amoureuse ou folle du cul ? Heureusement sa vie de femme, avec tous ses petits secrets, ne concerne qu’elle. L’inavouable restera inavoué, du moins tant qu’elle en décidera ainsi.
Elle ouvre la porte-fenêtre de la cuisine et se tire une chaise devant. Elle s’assied les cuisses largement écartées, magnifiquement ...