1. L'étudiante en droit


    Datte: 26/05/2019, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Laetitia sapho, Source: Hds

    ... la porte. Surement le dragon-bibliothécaire encore à notre recherche. Après avoir fait un tour, les pas se dirigent vers la sortie, la porte claque à nouveau. Nous pouvons revenir à nos occupations.
    
    Son nez s’est approché de mon intimité. Elle aspire avec force, comme pour s’enivrer de mon odeur féminine.
    
    Elle agrippe à nouveau ma culotte pour la baisser jusqu’à mes chevilles. Je lève le pied gauche pour qu’elle puisse l’enlever. Elle laisse ma culotte tirebouchonnée autour de ma cheville droite. Elle se concentre sur mon sexe. J’écarte les cuisses, toujours adossée à la paroi. Sa langue se glisse dans la fente à la recherche du clitoris. Je suis toute dégoulinante d’excitation. J’agrippe sa tête pour la plaquer contre moi. Je sens sa langue me fouiller.
    
    Je réprime un gémissement, au cas où le dragon serait encore dans le secteur. On va la jouer discrète. Du moins tant que ça sera possible, bien sûr !
    
    Elle a glissé son index dans mon vagin. Je suis tellement mouillée qu’il pénètre sans mal. De mon côté, j’ai lâché sa tête et j’ai entrepris de faire tomber ma veste de tailleur, puis j’ai déboutonné mon chemisier avec frénésie pour l’enlever aussi. Dans un état second, je me suis écartée du mur pour dégrafer mon soutien-gorge et le faire tomber à son tour. Je suis quasi nue dans la cabine. Il ne me reste qua ma jupe autour des hanches, mes bas et ma petite culotte autour de la cheville.
    
    Ma petite asiatique est toujours en train de gouter mon clito et de me ...
    ... doigter en même temps.
    
    Je me baisse pour enlever son manteau rouge, puis pour tirer son t-shirt vers le haut afin de lui enlever aussi.
    
    J’ai baissé les bretelles de son soutien-gorge sur ses bras puis fait jaillir ses petits seins. Je les agrippe, les malaxe. Je pince ses tétons entre mes doigts. Son regard s’est levé vers moi, elle chuchote un « oui » approbateur, m’invitant sans doute à pincer plus fort. Ce que je fais bien entendu sans me faire prier.
    
    J’en suis là quand l’orgasme me prend. Je lâche ses tétons pour agripper son crâne et le coller encore plus si c’est possible à mon bassin. J’ouvre la bouche, je souffle, prenant sur moi pour rester silencieuse. Mes jambes se raidissent et les vagues de plaisir qui envahissent mon ventre me submergent. C’est fort (et silencieux). J’en reste la bouche ouverte complètement essoufflée. Je ne m’aperçois même pas qu’elle s’est relevée et à approcher ses lèvres des miennes pour un baiser. Ma cyprine a humidifié ses lèvres, Je passe ma langue dessus pour la gouter.
    
    J’ai entrepris pendant le baiser, de déboutonner sa jupe et de la faire tomber au sol.
    
    Nous nous écartons, je l’invite à se retourner et à se diriger vers la cuvette. Elle plaque ses deux mains sur le mur. J’agrippe ses collants et sa culotte en même temps et baisse le tout vers le bas. J’arrache ses baskets et vire les dessous. Elle est toute nue maintenant. Je fais de même en enlèvent le peu de vêtements qui restent sur moi. Ma jupe autour de mes hanches tombe, ...
«12...4567»