L'étudiante en droit
Datte: 26/05/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: Laetitia sapho, Source: Hds
... moi, jamais réalisé. Je les trouve très belles avec leurs cheveux de jais, leur peau diaphane, leurs petites fesses et leurs petits seins !
Bon, on ne va pas s’exciter dans le métro Laetitia. Concentre-toi sur ton journal.
Jacques Bonsergent, la station suivante, ça monte encore. Ma petite étudiante s’est rapprochée de moi pour permettre à d’autres d’entrer dans le wagon. La grosse femme à côté s’étant encore étalée un peu plus, je suis maintenant carrément de côté tournée vers la jolie asiatique, la main toujours agrippée à la barre. On va oublier le journal, impossible de lire dans cette position, d’autant plus qu’un passager est debout devant moi.
Station République, grosse descente, mais grosse montée aussi. Mon étudiante est toujours là, au même endroit, le passager debout devant moi de dos aussi, et la grosse dame n’a pas bougée non plus.
Mon esprit navigue vers mon rendez-vous et le dossier du client que j’ai finalisé et que je vais présenter. Mon horizon est bouché par les autres passagers. J’entends la musique qui sort des écouteurs de l’homme devant moi. Celui-là, il va finir sourd à écouter sa musique aussi fort. La grosse dame a sorti de son sac à main un téléphone portable. Je n’écoute même pas la conversation insipide qu’elle tient avec une collègue de travail à priori.
Station Oberkampf, je ne rêve pas ! Le bassin de ma petite asiatique est contre ma main sur la barre, juste au niveau de sa … de son …, enfin, vous voyez quoi, je ne vous fais ...
... pas un dessin. Les mouvements de la rame pourrait laisser croire qu’à chaque virage, son corps touche le revers de ma main, mais non, c’est indéniable, elle se frotte ! Je ne rêve pas, elle se frotte le sexe sur ma main.
Station Richard Lenoir, elle a placé sa sacoche le long de sa hanche sur la gauche, de manière à masquer la scène aux autres passagers. A chaque mouvement de son bassin, je sens contre ma main son corps qui se frotte. Maintenant elle ne s’écarte plus, elle est collée à ma main. J’ai l’impression qu’elle tortille des fesses pour me serrer de plus près. Le dos de mon index semble être au niveau de son clitoris. Enfin bon, peut être que je me fais mon cinéma, mais c’est l’idée que je me fais, que cette petite cochonne se frotte le clito sur ma main.
Son regard est fixé dans le mien. Elle semble impassible, comme si de rien n’était !
Station Breguet-Sabin, j’ai réussis à dégager ma main de la barre. Elle semble déçue, mais je la rassure en baissant la main vers sa cuisse et en faisant glisser mes doigts sur le voile des collants vers les mystères que cache sa jupe.
Même si son visage continue à sembler fermé, j’ai tout de même vu très léger mouvement de ses lèvres quand ma main s’est glissée entre ses cuisses et a remonté sous sa jupe, le tout bien à l’abri des regards, masqué par la sacoche qui pend à son épaule.
Station Bastille, elle se dégage et se dirige vers la sortie. Elle se retourne avant descendre, me sourit. Ses lèvres forment un baiser ...