Une journée bien remplie
Datte: 26/05/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Emile, Source: Hds
... perçoit mes impulsions involontaires et sent mon trouble. Il me branle brutalement jusqu’à je manifeste encore ma félicité. Son ami continue longuement à me besogner. Jambe à demi pliées, je tends mes fesses vers l’arrière pour lui faciliter la tâche. Chaque mouvement force mon sphincter qui se dilate et se rétracte pour mieux enserrer sa bite. Une éternité passe et rien d’autre ne vient que ces délicieux coups de boutoir qui ne cessent de m’enflammer toujours plus. Le mouvement ralentit peu à peu, il sort de moi sans se soulager et je ressens une vive déception. Finalement, ils me lâchent et je m’effondre au sol, fourbu.
Ils se rhabillent rapidement alors que je reste assis par terre, groggy. Le maigrichon me remet mes chaussures, place mes vêtements dans son sac et me propose : « On t’accompagne jusqu’à la sortie de la forêt ! » Je comprends qu’ils veulent continuer à profiter de moi et m’exhiber. J’ai envie de résister et pourtant j’avance devant eux nu, souillé. Je marche bizarrement comme si j’étais encore empalé, reins à demi creusés, fesses presque ouvertes. Après quelques pas, il me semble que je donne l’impression de gigoter du bassin comme une guenon en rut. Nous croisons un couple de promeneurs dont les regards « en-dessous » laissent penser qu’ils se délectent de ...
... ma honte plus qu’ils ne blâment. Mes amis de rencontre sont hilares et ne boudent pas leur plaisir. Munis de badines, ils cinglent tous les endroits de mon corps y compris les plus sensibles. Bien évidemment, cela amplifie l’obscénité de ma démarche. J’écarte les jambes en de subtiles contorsions comme si je voulais qu’ils atteignent mon sexe et mon cul, je tends ma poitrine pour exposer mes tétons. Ce mélange de douleur et de plaisir me confine à l’obscénité puisque ma queue reste demi tendue en permanence et mon bas ventre douloureux. Ils se régalent des mots humiliants qu’ils me destinent « pute, conasse, gouape… » en y ajoutant toute une kyrielle de superlatifs plus insultants les uns que les autres. Et pourtant, je ne veux pas que ça finisse, qu’ils s’en aillent. Je veux être leur chose, longtemps… A l’orée du bois, ils me jettent mes vêtements et s’en retournent sans un mot, sans un geste. L’angoisse me saisit et je me sens soudain vide et douloureux. Je m’habille et découvre, dans la poche de mon short, une petite carte de visite… de quoi retrouver un jour ce plaisir… J’espère !
Je garderai longtemps le souvenir de ces moments d’exception ou j’ai expérimenté la jouissance et la honte mêlés, le désir d’une femme et d’un couple d’homos, le plaisir de l’exhib sans limites…