Une journée bien remplie
Datte: 26/05/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Emile, Source: Hds
... par-dessus sa tête et jette ses chaussures au loin d’un élégant geste de jambe. La voici nue, totalement nue ! Je détaille son anatomie, ses petits pieds, ses jambes fuselées, ses fesses rebondies, son ventre presque plat, ses petits seins légèrement tombants, ses épaules droites, cheveux courts et bruns, ses yeux sombres surmontant un petit nez aquilin et une bouche étroite. J’adore tout chez cette petite femme aux reliefs élégants et bien proportionnés. Je me rappelle l’avoir vue, il y a quelques années bien plus « enveloppée ». Elle se colle à moi, m’embrasse à nouveau. Mon dieu que sa peau est douce ! Puis elle se tourne, se courbe et prend appui des mains sur le dossier d’un canapé. Tout son entrejambes m’est soudain offert bien écarté. Je glisse une main entre ses cuisses et commence entre ses grandes lèvres et ses fesses une longue caresse intrusive d’une main tandis que l’autre commence à s’agiter sur son clitoris. Son sillon ne cesse de s’ouvrir et son bouton de durcir pour m’encourager. Mon sexe raidit de désir. En quelques instants, je la sens prête au plaisir. J’entre en elle et accélère le mouvement de mes doigts. Son vagin est trempé de mouille et ma modeste queue coulisse avec bonheur, entre et sort en rythme, nous amène à l’extase en silence son corps vibrant comme le mien, juste après que je me sois répandu en elle.
Elle s’affaisse doucement en pliant les bras mais continue à m’offrir son dos et ses fesses. Ne sachant pas vraiment ce qu’elle attend je ...
... reprends la caresse dans son intimité souillée. Je sens sa pastille frémir à chaque passage de mes doigts. Ses fesses s’écartent plus qu’avant. Je barde mes doigts de nos liqueurs et en entre un puis deux dans son fondement. Un petit cri lui échappe, ses reins se creusent. Je sens mon sexe durcir à nouveau et je le présente à son trou qui progressivement l’avale. J’y vais doucement, elle non, et nous voici à nouveau pleinement accouplés. Mon vit, profondément enfoncé et délicieusement serré, s’agite fermement en elle. Mes couilles claquent sur sa vulve détrempée. Mes mains serrent frénétiquement ses petits seins au risque de les meurtrir. A chacun de mes coups de reins elle est propulsée en avant et nous ahanons de concert. Je sens qu’elle se branle et le plaisir vient violent, bruyant. Nos corps sont secoués de spasmes pendant plusieurs minutes puis se calment. Nous nous laissons glisser au sol, toujours prisonniers l’un de l’autre (je devrais dire l’un dans l’autre) repus et épuisés.
Je suis honoré de me voir accueilli ainsi, autorisé à pénétrer son intimité de si merveilleuse façon. J’ai aimé son cul serré autour de ma bite, son con trempé de cyprine avant qu’il ne se passe quelque chose. J’ai aimé aussi sa manière directe pour m’inviter à fouiller son intimité, son regard coquin qui m’a fait oser m’exhiber aussi facilement. Nul doute que je ne manquerai pas de me soumettre à d’autres regards lubriques, d’offrir à mes partenaires plus que je ne me croyais capable d’offrir à ...