1. La décision


    Datte: 01/03/2018, Catégories: fh, ff, fhh, extracon, inconnu, cinéma, Oral pénétratio, Partouze / Groupe Auteur: 49_angers, Source: Revebebe

    Marida est une jeune femme, mère de trois adorables bambins, trois garçons. Elle approchait alors de la quarantaine, bien installée dans une ville de province, assez heureuse dans sa vie de couple sans pour autant se faire de grosses illusions sur son avenir affectif et sentimental. L’usure du temps entraînait son chapelet d’habitudes, la perte de fantaisie, le manque d’enthousiasme, finalement la vie lui semblait de plus en plus morne et grise, tout comme son travail avec les trajets en tramway deux fois par jour entre chez elle et le cœur de la ville, ou même les vacances avec ses rituels séjours au bord de la mer chez ses parents ou à la montagne chez des amis.
    
    Après des années de frustration et de disette, issue d’une famille aisée elle avait subi des années de brimades dans un lycée bourgeois dirigé par des sœurs, elle avait connu une vie plus trépidante, notamment ses années étudiantes, son heure de gloire.
    
    D’un physique assez commun, 1 m 64, 52 kg et un bon 85 B, elle avait cependant un joli visage, les traits fins, deux beaux yeux noirs en amande, des sourcils fins, une bouche assez grande, elle a hérité de la belle peau mate de sa mère, des cheveux très bruns assez courts. Sur le campus universitaire elle était connue comme le loup blanc, toujours prête à faire la fête, elle se trouvait souvent un nouvel amant et finissait la nuit chez cet inconnu d’un soir, elle avait eu jusque cinq amants à la fois, passant d’un lit à l’autre, d’une nuit à l’autre, d’un ...
    ... tonus à l’autre.
    
    Elle s’adonnait à toutes sortes de plaisir en tant que femme libre et fière de l’être, mais étudiante sans un sou vaillant en poche, ses parents lui donnaient le strict minimum pour son logement et sa nourriture. Elle réussissait à se faire fournir en toute sorte de produits illicites, elle payait en retour sans jamais débourser le moindre argent, dans des endroits qui lui semblaient maintenant improbables, culbutée sur le capot d’une voiture, dans des vestiaires d’hommes, sur des poubelles sous un porche, prenant le maximum de plaisir et le partageant.
    
    Elle se souvenait de la fois où, lors d’un séjour au bord de mer, nichée dans des rochers à l’abri, pensait-elle, des regards indiscrets, avec un italien de passage, elle s’était fait sodomiser sans apercevoir le téléobjectif d’un photographe voyeur qui plus tard lui a fait parvenir les clichés. Une autre fois dans la cabine d’essayage d’un supermarché où, surprise en pleine fellation par un agent de sécurité de l’établissement, la suite fut épique, ce dernier ne voulant pas être en reste, le côté pyromane de Marida l’avait rattrapé : elle dut arrêter deux incendies qu’elle avait par inadvertance déclaré : dans l’inconfort et l’exiguïté elle s’était fait prendre en sandwich par deux inconnus. Toutes ces images restaient gravées dans sa tête et resteront toujours enfouies au plus profond de sa mémoire.
    
    Depuis ses trente ans, de temps en temps elle s’achetait son « petit nécessaire », après que la maison se ...
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