1. Le Manoir McLaughan - Chapitre 6


    Datte: 25/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Ambel, Source: Hds

    ... doucement. La sensation était plutôt agréable, la douleur causée par le fouet s’étant doucement estompée. La main continua de me caresser doucement, puis m’agrippa une fesse fermement. Je laissai échapper un petit cri de surprise devant cette initiative prometteuse. La main s’arrêta alors, puis descendit directement sur le plug anal, en attrapa l’extrémité puis tira doucement.
    
    La sensation fut intense. Je sentis mon anus me chauffer, et cette chaleur me remonter dans l’abdomen et au creux de l’estomac. Je gémis. Mon mari dut s’en apercevoir, car il lâcha le plug qui pénétra à nouveau mon anus, et tira dessus à nouveau. La même chaleur m’envahit une seconde fois. Il tira alors plus fort, et le plug sortit totalement, ce qui déclencha un nouveau gémissement de ma part. Il le rentra alors aussitôt, en poussant fort.
    
    Lorsque le plug fut à nouveau rentré complètement, j’entendis un bruit de clés, puis je sentis qu’on libérait ma main gauche des menottes. Une main attrapa alors mon poignet et me guida directement sur mon clitoris. Je n’en demandais pas tant et me mis à me caresser comme une folle. On libéra alors ma deuxième main, puis on me retourna pour me mettre sur le ventre. Là, l’homme derrière moi me releva brusquement pour que je me redresse sur les genoux, ma main gauche toujours collée à mon clitoris. Ma main droite fut alors guidée à son tour jusqu’à mon vagin, tandis que je reposai sur ma poitrine et ma tête.
    
    La main récupéra alors le plug et entreprit des ...
    ... mouvements de va-et-vient dans mon anus. Je gémissais sans m’arrêter, en criant. Je sentis alors que l’autre main, celle qui ne s’occupait pas du plug, avait saisi la chaîne, et tirait sur le collier pour me rappeler qu’en cet instant, je n’étais qu’une pauvre chienne qui avait l’autorisation de se masturber. Je perdis alors totalement pied. Mes mains travaillaient toutes seules, et les mouvements dans mon anus produisirent une délicieuse vague de plaisir qui se répercuta dans tout mon être. Alors que trois de mes doigts s’agitaient dans mon vagin, je me mis à jouir du plus profond que je pouvais. Un orgasme énorme, qui me secoua dans tous les sens. J’avais dû crier, hurler, je ne le savais même plus. Je venais de vivre un moment divin. Cette fois, mon mari avait bien dû comprendre à quel point j’avais envie de lui, et qu’il fallait qu’il s’occupe de moi.
    
    Il me laissa cependant me reposer de l’orgasme sur le lit. J’étais retombée sur le dos, haletante, et bien que j’étais désormais libre de mes mouvements, je ne pris même pas la peine de retirer mon bâillon ou mon bandeau. Je n’arrivais même plus à savoir si le plug anal était toujours en moi, mon anus étant totalement dilaté. Exténuée, ravie, comblée, je m’endormis sur le champ.
    
    Je fis un rêve délicieux ou je flottais dans les airs, entièrement nue, volant de nuage en nuage, le vent glissant doucement sur ma peau comme une caresse timide. Soudain, j’arrivai à un nuage plus grand que les autres, y atterrit en douceur, puis ...