1. Danielle, la femme du garagiste


    Datte: 22/05/2019, Catégories: fh, fplusag, extracon, inconnu, voiture, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme intermast, Oral pénétratio, Auteur: Cameraman, Source: Revebebe

    ... raide et le guidant vers sa vulve, elle s’assit sur moi, propulsant ma queue jusqu’au fond de sa chatte.
    
    — Ohhh, tu es gros, mmmhh c’est bon, oh oui !
    
    Elle m’enlaça, reprit mes lèvres et commença un va-et-vient vertical, me pompant le sexe avec tout son sexe bien lubrifié. Je saisis ses fesses par-dessous pour l’aider dans son mouvement et à ce rythme, je sentis que je ne tiendrais pas très longtemps.
    
    À chaque fois qu’elle redescendait, je sentais le bout de ma queue buter contre sa matrice, comme si une deuxième bouche m’aspirait. Elle accéléra la cadence et fit en même temps des mouvements du bassin vers l’avant pour frotter son clito plus fort encore. Je sentais mes couilles pleines sur le point de cracher leur jus et je me laissai aller : je giclai un grand jet de foutre juste au moment où elle s’empala à nouveau sur moi. Elle le sentit et se mit à trembler en accélérant encore ses mouvements. Je me laissai aller en arrière et je sentis qu’elle prenait à nouveau mes lèvres.
    
    Nous restâmes un long moment soudés l’un à l’autre, puis elle se dégagea et nous mîmes un peu d’ordre dans notre tenue. Elle se rassit au volant et je voulus la voir encore. Je remontai sa jupe sur ses cuisses et je contemplai ses bas tendus par les jarretelles en dentelle rose et noire. Cela m’excita aussitôt et je sentis mon sexe reprendre de la vigueur.
    
    Toutes ses barrières étaient tombées et je lui caressai doucement l’intérieur des cuisses qu’elle ouvrit en grand : elle me regarda ...
    ... en souriant, puis elle ferma les yeux. Je remontai ma main vers sa chatte et passant prestement par le côté, j’écartai l’élastique du fin rempart de tulle et je recommençai à la doigter. Cette fois je m’attardai plus sur son clito que je trouvai aussitôt. Il était déjà (ou encore) tout dur et gonflé, ses lèvres étaient indécentes de désir avoué, elles béaient largement et, toutes gonflées, elles luisaient du jus qui recommençait à couler de sa chatte. J’eus soudain une forte envie de la lécher et je le lui dis.
    
    — Viens, passons derrière, me dit-elle.
    
    Ce que nous fîmes. Elle s’allongea sur la banquette arrière, les jambes pendantes en- dehors de la voiture et je m’agenouillai devant elle. Je tirai sur l’élastique de sa culotte et la lui enlevai, un tout petit bout de tulle transparent, complètement trempé de sa mouille ; ayant fait voler ses escarpins, elle posa aussitôt ses pieds gainés de bas noirs sur mes épaules. Ce faisant, elle me découvrit le dessous de ses pieds et l’arrière des ses jambes : elle portait de vrais bas à coutures avec une diminution sur la cheville et le dessous du pied plus sombre et très dessiné. Ce sont ces bas qui m’excitent le plus : quand une femme en porte, la ligne de sa jambe est soulignée et le galbe s’en trouve magnifié. De plus, le fait que le pied soit nettement dessiné prouve, pour un œil averti, que la femme porte de vrais bas à coutures.
    
    Je tournai la tête et j’embrassai voluptueusement ses pieds, puis les posant sur mes épaules, ...
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