1. Danielle, la femme du garagiste


    Datte: 22/05/2019, Catégories: fh, fplusag, extracon, inconnu, voiture, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme intermast, Oral pénétratio, Auteur: Cameraman, Source: Revebebe

    Depuis toujours je suis passionné par les bas, les porte-jarretelles, les guêpières et les talons hauts ; mais je ne suis pas un travesti, j’aime tout simplement voir des femmes qui en portent et, si possible, passer un moment agréable avec elles…
    
    Mais voilà, la plupart des femmes de nos jours portent plutôt des collants ou des bas auto-fixants, jolis, bien sûr, mais nettement moins érotiques à mes yeux.
    
    Depuis longtemps je suis attentif dans la rue aux jambes des femmes, je les observe, je me livre à un petit jeu : j’essaie de deviner si elles portent des bas ou des collants.
    
    Et parfois, le petit jeu offre une récompense…
    
    J’étais en reportage dans une ville des bords de Loire pour trois jours, un peu désoeuvré en attendant la soirée pour filmer une émission de divertissement. Je me baladais donc dans les rues de cette cossue petite ville de province en me livrant à mon petit jeu favori.
    
    Certes, la population féminine n’était pas aussi nombreuse qu’à Paris, mais si on sait où se placer pour jouer à mon jeu, on n’a pas de problème : les rues commerçantes de toutes les villes attirent les femmes comme des aimants (j’ai d’abord écrit des amants) et maintenant cela comprend les grands magasins et aussi les supermarchés.
    
    Je déambulais donc dans la rue principale, simple promeneur innocent, sauf que j’avais envie de lécher bien plus que les vitrines…
    
    Jusqu’au milieu de l’après-midi, je commençais à désespérer. Rien de bien intéressant ne passait sous mes yeux ...
    ... : quelques femmes assez jeunes aux jupes très courtes tentant maladroitement de rester perchées sur des talons vertigineux, une infirmière en blouse blanche dont la silhouette se découpait en contre-jour ; et quelques bourgeoises pincées qui passaient, droites comme un I, sans m’accorder un seul regard (et en donnant l’impression que quelque chose de très important était écrit sur le bout de leurs chaussures à talons plats)…
    
    Toutes ces jambes étaient gainées à n’en pas douter soit de collants d’épaisseur rédhibitoire, soit peut-être de « dim-up », mais aucune n’avait les indices révélateurs d’une vraie paire de bas avec les petits élastiques bien tendus sur la cuisse.
    
    C’est un fait établi, les bas très fins plissent ; d’aucunes diront que les collants très fins plissent aussi ; d’accord, mais pas aux mêmes endroits et pas de la même façon : les bas forment des plis quand la jambe se plie et que la jarretelle se détend, au genou et à la cheville.
    
    Le « vulgus collantus » lui, plisse en permanence et la marche ne modifie pas sa position : s’il plisse, c’est qu’il a été mal enfilé ou qu’il a bougé ou encore qu’il est légèrement trop grand pour la jambe qui daigne le porter.
    
    Et donc, ce jour-là, après une longue attente, je vis arriver les fameux plis sur les deux belles jambes d’une femme d’un certain âge, pour ne pas dire d’un âge certain. Elle devait avoir aux environs de la cinquantaine, sinon plus, mais sa distinction, ses vêtements et son allure n’avaient rien à ...
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