Danielle, la femme du garagiste
Datte: 22/05/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
inconnu,
voiture,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
intermast,
Oral
pénétratio,
Auteur: Cameraman, Source: Revebebe
... envier à bien des femmes plus jeunes.
Elle portait un tailleur gris, bien coupé, et plutôt ajusté, ce qui laissait deviner une silhouette fine et élancée. Sa jupe, assez serrée et même « entravée », la forçait à avancer à petits pas rapides, faisant claquer sur le trottoir ses escarpins noirs à talons très hauts. C’était le printemps et elle ne portait sous son tailleur qu’un chemisier blanc assez transparent qui laissait deviner un charmant soutien-gorge en dentelle.
Pour moi, c’était la cible idéale, même si elle ne m’accorda pas un regard de ses yeux verts de rousse. Cheveux mi-longs légèrement frisottés, elle tenait un petit sac à main noir qui se balançait au rythme de ses pas.
Je scotchai mon regard à ses jambes couvertes d’une fine matière noire très transparente, remontant des chevilles aux genoux et le doute n’était plus possible : elle portait des bas.
Je l’observai tranquillement de loin, marchant au rythme d’un promeneur et je la vis soudain entrer dans ce qui semblait être un cabinet d’assurances. Je m’appuyai contre un banc juste en face et j’attendis. Un quart d’heure plus tard, elle ressortit et repartit d’où elle était venue. Je traversai la rue et commençai à la suivre, me rapprochant rapidement, les yeux rivés sur ses jambes. Dans ce cas, il ne faut pas tarder à passer à l’action, au risque de se faire passer pour un « suiveur » pervers et de faire peur à la dame.
J’arrivai donc rapidement à sa hauteur et je l’abordai.
— Pardon madame, ...
... puis-je vous dire un mot, s’il vous plaît ? tout en affichant un large sourire.
Elle me toisa un instant.
— Oui, je vous en prie.
— Eh bien, je voulais vous dire que vous avez illuminé ma journée et que vous êtes la plus belle femme que j’ai rencontrée dans cette ville.
Elle baissa les yeux et, avec un petit sourire en coin, glissa :
— Oh, je vous remercie, monsieur, mais vous êtes un flatteur !
C’est vrai qu’elle n’était pas des plus jolies et qu’elle le savait sans doute. Les femmes savent ces choses-là. Mais elle était très distinguée et ça, pour moi, ça comptait beaucoup. Et puis, malgré tout, cela avait dû la toucher, tout de même.
— Permettez-moi de vous offrir quelque chose à boire, si ce n’est pas abuser de votre temps ?
— Mais, monsieur, je suis une femme respectable et je ne vais pas boire un verre avec n’importe qui.
— Ecoutez, jusqu’à ce moment, ma journée était comme toutes les autres et je vous ai vue. J’ai tout simplement envie de prolonger un peu ce moment de bonheur et peut-être de vous le faire partager ? C’est tout simple. Mais vous avez sans doute des tas de choses à faire ?
Elle me regarda droit dans les yeux et de nouveau elle esquissa un petit sourire, au coin de ses lèvres :
— Non, non, il se trouve justement que j’avais un petit moment à tuer, j’accepte.
Nous nous dirigeâmes vers le café le plus proche et là je lui racontai ce que je faisais ici ; elle me dit que son mari était garagiste à l’entrée de la ville et finit par ...