1. Danielle, la femme du garagiste


    Datte: 22/05/2019, Catégories: fh, fplusag, extracon, inconnu, voiture, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme intermast, Oral pénétratio, Auteur: Cameraman, Source: Revebebe

    ... m’avouer qu’elle s’ennuyait un peu. Depuis qu’il avait été cambriolé, son mari avait décidé de passer toutes ses nuits dans son garage et elle dormait donc le plus souvent seule.
    
    Je la dévorai des yeux et elle en fut presque gênée.
    
    — Ne me regardez pas comme ça, je suis timide !
    
    Là, je lui racontai ma passion pour les femmes distinguées, puis je glissai sur la qualité de ses vêtements et je lui avouai franchement le petit jeu auquel je me livrais et ma passion pour les frous-frous, et les bas.
    
    Je me hasardai :
    
    — Alors, est ce que j’ai gagné ?
    
    Elle commençait à se prendre au jeu et se permit même de me taquiner.
    
    — Vous voulez vérifier ?
    
    Puis, se reprenant tout de suite.
    
    — Mais qu’est ce que je raconte, moi, je suis folle ?
    
    Elle croisait et décroisait les jambes de temps à autre et j’entendais nettement le crissement caractéristique du nylon de ses bas. Je la regardai plus sereinement avec un petit sourire.
    
    — Puis-je vous revoir ? Que faites-vous en fin d’après-midi ?
    — Non, ça n’est pas possible. Et puis je suis mariée, on me connaît ici.
    — Allons, il s’agit seulement de prolonger un peu ce moment de bonheur, dites oui !
    
    Elle me regardait, les yeux pétillants et avec ce petit sourire au coin des lèvres que je commençais à adorer, elle me chuchota :
    
    — Attendez-moi sur le quai de Loire, face à la poste, à 18h30, j’ai une voiture grise.
    
    Puis brusquement, elle prit son sac sur la table, se leva et partit sans se retourner. Je restai un ...
    ... peu estomaqué, n’osant trop y croire, me demandant si je ne venais pas de sortir d’un rêve. Je me retournai, elle avait disparu. Je réglai les consommations et sortis dans la rue avec l’impression de marcher sur un nuage : elle avait dit oui.
    
    Le reste de l’après-midi me parut interminable ; je passai à ma chambre d’hôtel au dernier moment pour prendre une douche et m’asperger d’eau de toilette, au cas où…
    
    Avant l’heure dite, je m’installai tranquillement, assis sur un muret qui surplombait la Loire et je patientai. 18h30 passèrent, puis 18h45, elle ne viendrait pas. Je commençais à perdre espoir quand soudain un bref coup de klaxon me fit lever les yeux : elle était arrêtée en double file juste de l’autre côté de la rue et me faisait signe de venir rapidement.
    
    — Montez vite, je dois passer à la poste avant la dernière levée.
    
    Je m’assis à côté d’elle et elle démarra aussitôt ; elle s’était changée, exit le tailleur, elle portait maintenant un chemisier quasi transparent qui laissait voir la dentelle de son soutien-gorge très pigeonnant, poussant deux globes bien ronds sous les regards, dont le mien.
    
    Elle avait enfilé un manteau assez long en une sorte de fourrure très fluide et légère, et surtout, elle avait troqué sa stricte jupe de tailleur contre une ample jupe très courte qui laissait voir une marque sombre sur ses jambes à mi-cuisses.
    
    Elle ne fit pas 50 mètres qu’elle s’arrêta à la poste toute proche. Quand elle se tourna pour sortir de la voiture, je sus ...
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