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Amante de père en fils
Datte: 20/05/2019, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... le rejoindre. Je souriais à présent pas peu fière de mon numéro. J'avais envie de me radoucir voire de me racheter. Je lui dis : « Ne fais attention à ma mauvaise humeur. En fait je me venge sur toi de la mauvaise impression que m'a fait ta copine. Je ne peux pas la blairer. Qu'est-ce que tu fous avec ? T'es bigrement mignon. Elle ne te mérite pas. « Dans ce torrent de mots il ne savait trop à quel saint se vouer. Le détestais-je ou non ? Je lui dis d'aller chercher dans le frigo deux frais Coca. Ce répit dut lui redonner un peu d'esprit. A présent il osait m'affronter du regard. Je fumais mi-goguenarde. Je devins peu à peu plus câline. J'inventais à mesure quelques bobards. Je lui tins à peu près ce propos. « N'ai crainte je n'en parlerais pas à ton papa. Ce sera notre secret. Je suis content que tu sois venu me voir seul ». J'avais rapproché mon siège. Nous étions à peine à un pas l'un de l'autre. De nouveau il avait baissé le regard. Je lui pris la main et d'autorité mis celle-là sur le haut de mon sein. Je lui dis : « Touche ! C'est doux. Ce pourrait être à toi si tu voulais. » Il baissait toujours et sottement son regard comme enlisé dans du sable. En un instant je fus à ses genoux près de lui. Il n'eût guère le temps de réaliser ce qui lui arrivait. Sa braguette fut lestement déboutonnée et sa belle queue dextrement extirpée. Tous yeux écarquillés il s’aperçut trop tard que son sexe était absorbé, savouré dans ma bouche. Je me faisais délice du beau fruit. Il ...
... en avait rêvé. C'était réalité. Nos bouches plus tard se collèrent. Nos langues s'entremêlèrent. Le lit nous accueillit. Je n'avais point à lui dire qu'outre un voisin, son père des fois en bouleversait les draps. Le petiot avait déjà une sûre technique. Il savait y faire. Admirative je lui dis : « Qui t'as appris ? Est-ce ta copine ? Il m'avouât qu'une de ces tantes l'avait il y a deux ans dépucelé. Ils avaient été amants assez longtemps. Elle lui avait tout appris. Je bénissais cette tante. Assurément une salope comme moi que j'aurais pu bien connaître. Cet éphèbe n'omit pas sur la fin de me gratifier d'une bonne sodomie auquel je mettais tant de pris. Je finis pelotée dans ses bras, lasse voire secouée par de forts accès de tendresse. C'est lui qui de peur de la copine voulut partir et en rompit le charme. Nous convînmes d'arranger par SMS de prochains rendez-vous. Je n'osais dire qu'autant que lui j'étais sollicitée. Les jours suivants je dus gérer tant le père que le voisin que le fiston. Bref je dus renoncer à mes séquences de prostitution sur la plage. Jamais je n’avais été autant baisé en un si bref temps. Par ailleurs mon bronzage était parfait. Mon corps ne s'était jamais tant senti exister. Les mâles en avaient disposé sans vergogne. Je me sentais renaître. Il m'importait peu de savoir ce qu'ils pensaient de moi. Ou plutôt devaient-ils songer que j’étais une pute dont ils avaient profité. Hors le jeune homme dans le regard duquel je vis un peu de tristesse et ...