1. Amante de père en fils


    Datte: 20/05/2019, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... en sorte.
    
    Souvent après avoir fait ma putain en bord de plage, une faim de loup me prenait. J'invitais alors mon voyou à partager un fastueux dîner au champagne. Auparavant nue, je sacrifiais à un généreux bain de minuit. Je me lavais de mes souillures. Sentant un peu le sperme et le sel je n'en allumais pas moins quelques clients et serveurs. Mon voyou passablement irrité m'en punissant plus tard en me sodomisant dans la voiture. Tout cela me procurait un profond et indicible sommeil. Celui du juste. Ce fut le lendemain que j'eus à croiser le fils du proprio accompagnée de sa petite amie.
    
    Il parût surpris de ma présence. J'eus idée que l'appartement dont il avait les clés devait au besoin lui servir de garçonnière. La copine était non moins contrariée que lui. Une gamine chétive au visage joli pourtant. En un éclair nous nous détestâmes mutuellement. Elle dut concevoir que j'étais une femme de mauvaise vie. Je sus qu'elle me soupçonnait de coucher indubitablement avec le père. Je n'étais pour elle qu'une garce, une traînée. Je vis que le gamin que j’avais vu grandir dévorait lui mon haut où abondaient mes seins. Il était devenu beau gosse. J'eus idée de croquer ce joli bonbon.
    
    Je n'attendis guère longtemps. Tôt le matin le vieux du dessus après avoir emmené sa dame au kiné, s'était rué sur moi. Nous avions une petite heure devant nous. Il me fit bien la fête. En sorte il me réveillât un peu. Je me ranimais sous ses coups de boutoir. Avec un grognement vainqueur il ...
    ... m'éjaculât sur la face puis obtint sans peine que je lui lavas la queue dans la bouche peu après qu'il m'eût peu avant enculé. C'était sale et inepte mais nous adorions. Je décidais plus tard de faire des emplettes et de déjeuner sur la plage. L'après-midi nue sur le balcon je m'octroyais une sieste.
    
    Ce fut dans mon demi-sommeil que je perçus une présence. On m'observait tout au fond du salon. Je crus d'abord au propriétaire venu ici par inadvertance. Puis distinguant mieux les traits dans la pénombre, je reconnus son fils. Le coquin s'était invité. Il s'était débarrassé de sa pécore. Je ne croyais pas au hasard. Ce vicieux avait voulu me revoir. Peut-être me matait-il depuis un certain temps. Je me redressais sur le coude me tournant afin qu'il put sans vergogne savourer mes formes. Ventre plat, chatte lisse et nibards de performance. Je secouais mon cheveu blond comme par défi.
    
    Je lui dis d'approcher et d'emblée sur un ton de mépris je lui dis : « Je présume que ton amie ne sait pas que tu es ici ? « Il rougit penaud, la main pris dans le sac. J'embrayais : « Je ne pense non plus que ton père sait que tu t'invites chez les gens sans frapper. » Je poursuivis : « Pourtant il m'a assuré que je serais tranquille épargné par les importuns. » Il croulait sous mes sarcasmes et reculant déjà je le vis capituler et peut-être déjà déguerpir. Je prévins son geste de lâche. Je criais : « Tu ne vas pas te défiler maintenant. Reste-là. ». Dédaigneuse j’enfilais mon peignoir et vint ...