1. Amante de père en fils


    Datte: 20/05/2019, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... par trop évident qu'il voulait me sauter. Il est manifeste qu'en une telle circonstance je ne pouvait m'offusquer à la façon d'une femme normale. Au contraire je croyais devoir me résoudre à satisfaire le mâle devant moi qui me convoitait. Je lui suis redevable. Je n 'ai droit à le décevoir. Il faut le contenter. Je suis sa pute,sa soumise. Le porc de ce jour-là dut percevoir cela d'un seul coup et par instinct. Tandis que j’étais à la cuisine il vint bientôt sur moi pour me coller. N'étais-je venue de loin pour çà ? Éprouver la chair, la fange du mâle, son souffle haletant et rauque sur ma nuque.
    
    D'un geste d'autorité il arracha mon débile peignoir, lui fit joncher le sol. Ses mains calleuses sur mes hanches et mes fesses me suscitèrent un désir qui me fit un instant me cabrer telle une jument. Il était assuré d'être tombée sur la parfaite salope point rétive n'attendant que cela. En un tour de main j'étais accroupie devant lui à le sucer. Il passât sa main avec quelque tendresse dans ma chevelure. Docile, j'étais tout à mon loisir ainsi qu'au sien. Il avait la queue lourde et épaisse comme j'adore. La suite fut sans égards pour moi. Il me tirât notamment par le cheveu et m'enculât.
    
    Nous finîmes côte à côte sur le lit exténués fumant chacun sa cigarette. Il m'avouât que depuis longtemps il me désirait. Voisin du dessus il avait maintes fois maté mon cul tandis que je bronzais nue sur ma serviette. Je lui dis que j'avais parfaitement repéré son manège. Que cela ...
    ... m'excitait sachant que sûrement il se branlait à un tel spectacle. Cette fois il avait pu concrètement vider ses couilles dans ma chatte et mon cul. Il devinait par trop que je couchais avec le proprio et sûrement quelques autres. Il voulait encore de moi. Je glissais à nouveau sous sa bidoche pour le sucer.
    
    A tout le moins j'étais assurée que ce porc pourrait me dépanner si besoin était. Je n'en cédais pas moins à mon terrible caprice, secret partagé par peu. En effet un des amants du coin, voyou à l'occasion prostituait des filles. Un jour par jeu et prétextant quelque besoin d'argent, je pus obtenir de détenir un coin de plage tandis que mentor il m'assurait de loin sa relative protection. Attifée en minijupe, petit haut et cuissardes j'eus ce soir-là un franc succès. J'empochais pour une quinzaine de passes. Il convint de me laisser la moitié du pactole. L'expérience se révéla une merveille pour moi.
    
    Je fus impressionnée moi-même par mon audace voire mon inconscience. Je n’avais cure que le client fut beau, laid, petit, gros, blanc ou noir. Dans la pénombre et sous le clair de lune je suçais, me laissant peloter et cambrée subissant par-derrière les bourrades des mâles. Je réalisais que j’assouvissais un ancien fantasme autrement plus prégnant et fort que mes soirées partouzes en club. Là l'élément sordide ajoute à l’humiliation et donc à mon plaisir. Bref à toute occasion je sus réitérer. Ce soir-là mon voyou était libre. Il jouerait volontiers au maquereau. Je me nippais ...
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