1. Première nuit avec Carmen


    Datte: 20/05/2019, Catégories: fh, fplusag, jeunes, voisins, nympho, groscul, hépilé, hsoumis, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, strip, BDSM / Fétichisme Oral nopéné, jeu, sm, attache, gifle, init, Auteur: Carmen Pagnotti, Source: Revebebe

    ... avait fait place, petit à petit, à une sorte de déchaînement déluré, les ondulations lascives et saccadées ayant évolué en un mouvement plus spasmodique et agressif. La bouche ouverte et les paupières masquant des yeux révulsés par l’euphorie, je buvais ses convulsions et m’appliquais à en faire perdurer la cadence de mon mieux. Je pense avoir ainsi fait travailler mes maxillaires une bonne dizaine de minutes, j’étais au bord de la crampe.
    
    À l’acmé de son extase, Carmen me martelait et me pilonnait la tronche pendant qu’elle couvrait l’appartement de ses bruyantes lamentations. La discrète mélopée qui avait inauguré mon délice n’était dorénavant qu’un long râle soupiré et interrompu.
    
    Elle resta sans bouger un court instant, essoufflée, pour ensuite se redresser et se retourner, une main fébrilement appuyée sur mon front. Avant que je ne comprenne quoi que ce soit, elle aiguilla ma ganache à moitié assommée vers la raie de ses fesses et prit ma bouche comme strapontin.
    
    — Régale-toi de ce côté-ci aussi, vilain garnement ; tu as fait un bon travail… Voyons si t’as encore faim…
    
    Je ne pouvais que constater la véracité de l’adage prétendant que l’appétit venait en mangeant : Carmen avait un goût exquis et pour être cru, je crevais la dalle. Je m’étais retrouvé enseveli sous ses deux pêches moelleuses et tièdes, le nez écrasé contre son coccyx. Elle promena mon appétit entre la rareté de son ourlet et l’abondante carnation, plus fraîche, de sa fleur odorante et ...
    ... pulpeuse.
    
    J’alternais adroitement mes fouilles et dégustations quand du sommet de son trône, avec toute la gouaille qui la caractérisait, ma reine m’autorisa à me montrer moins fin gourmet, plus vorace. En quelques instants, j’étais en transe, presque incontrôlable, oubliant les borborygmes produits par mes démentes succions affamées, léchant son postérieur comme un infâme forcené, mordillant ses détours veloutés et onctueux reliefs, stimulant mes sens et s’accaparant mon esprit, son cul gargantuesque me faisait sombrer dans une petite folie douce…
    
    Ayant remarqué mon émoi frugal, Carmen ôta puis posa ses lunettes et se pencha en avant, alors que je continuais à la dévorer insatiablement. Elle s’était quasiment pliée en deux, privilégiant l’accès à mes succulentes friandises.
    
    M’imaginant qu’il ne s’agissait là que d’une nouvelle façon encore plus délicieuse de me proposer son intimité, je continuais à la gratifier de mes avides bouchées et goulées assoiffées.
    
    Tout à coup, le bruit reconnaissable qu’elle produisait pour accumuler promptement une grande quantité de salive me renvoya à une réminiscence, toute récente… Suspendu, j’attendais l’onomatopée annonçant la pluvieuse détonation.
    
    Au lieu de ça, rien. Je n’avais pas compris qu’elle venait de remplir le creux d’une de ses mains. Soucieux de mon endurance, je n’oubliai pas qu’elle comptait me tenir éveillé jusqu’à l’…oh ! bordel de merde !…
    
    Elle encercla ma couronne d’un anneau sec et étriqué, puis me décalotta sans ...
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