1. Première nuit avec Carmen


    Datte: 20/05/2019, Catégories: fh, fplusag, jeunes, voisins, nympho, groscul, hépilé, hsoumis, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, strip, BDSM / Fétichisme Oral nopéné, jeu, sm, attache, gifle, init, Auteur: Carmen Pagnotti, Source: Revebebe

    Dans le volet précédent, «Première rencontre avec Carmen », un jeune étudiant de vingt et un ans se retrouve convié chez sa voisine de palier qui, en remerciement d’un prétendu service, lui offre une récompense aussi inattendue que mémorable.Et alors que les jambes encore flageolantes, notre protagoniste s’apprête à retrouver ses quartiers, celle qui a manqué de le faire s’évanouir de plaisir lui propose de la rejoindre plus tard, lui promettant de passer en sa compagnie la nuit la plus torride de sa vie…L’épisode qui suit reprend peu après ces derniers événements…
    
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    Elle m’avait dit« dans une heure »… Je jetai anxieusement un ultime coup d’œil à ma montre, accrochée au-dessus du bureau, rien que le douzième en deux minutes. Encore un quart d’heure d’attente, une vie entière ! Ce n’était pourtant pas faute d’avoir gaspillé un temps monstre devant mon armoire… Mais, finalement contraint par mon manque d’intérêt pour la lessive, j’avais dû opter pour un simple polo pas trop froissé, porté par-dessus une ceinture en cuir qui tenait l’un de mes derniers jeans propres.
    
    Sur mon lit éternellement défait, allongé sur le dos, je commençais presque à regretter ma dernière action : cela faisait un moment que je luttais désespérément pour ne pas prêter attention au désagréable picotement émanant de mon entrejambe.
    
    Pour peaux sensibles… à l’aloe vera… élu produit de l’année, tu parles… D’autant qu’en dehors du fait que cette saleté donnait l’illusion de se ...
    ... faire rogner par une armée de fourmis, j’étais surtout pourvu d’un aspect dorénavant juvénile et pré-pubère. J’avais même eu du mal à en assumer le reflet lors de mon inspection finale…
    
    Ceci dit, ça reste sans doute l’un des souvenirs les plus rocambolesques que je garde de cet appartement : moi, me tenant au lavabo de la salle de bain, accroupi à califourchon au-dessus d’un miroir posé au sol, perdu entre une minuscule notice imprimée sur une boîte en carton et une perspective des plus renversantes de mon anatomie, grossièrement tartinée d’une poisseuse crème vert-de-gris.
    
    Le résultat avait été édifiant, je ne m’étais pas reconnu ; et dubitatif quant à mon aspect ridiculement glabre, je m’étais tourné vers le Tancarville afin de m’empresser d’enfiler un boxer… Dieu qu’il était doux. Au début, en tout cas.
    
    Accoutré maintenant de la façon la moins saugrenue que j’avais pu dénicher, je restais impassiblement léthargique, ancré à mon matelas, regrettant de toute mon âme de n’avoir une grossière noisette de Nivea, une infime poignée de talc, rien que quelques grains seulement, n’importe quoi à ma disposition qui puisse me soulager, ne serait-ce qu’un tantinet.
    
    Hormis le tic-tac entêtant de l’horloge murale ou la clarté sans nuages que dispensait un ciel rougissant par-delà ma fenêtre de toit, je n’avais rien d’autre pour accompagner mon atermoiement qu’hésitations et apitoiements. Agacé, je tournai la tête une énième fois pour constater amèrement qu’une seule et unique ...
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