1. Première nuit avec Carmen


    Datte: 20/05/2019, Catégories: fh, fplusag, jeunes, voisins, nympho, groscul, hépilé, hsoumis, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, strip, BDSM / Fétichisme Oral nopéné, jeu, sm, attache, gifle, init, Auteur: Carmen Pagnotti, Source: Revebebe

    ... côté de la vitre, nous parvenait la sourde cacophonie de la ville… L’écho de ses bottes résonnait alors qu’elle déambula vers moi.
    
    Le bustier était à jarretelles et de nombreuses pinces soutenaient ses bas de manière élaborée. Elles barraient la pliure formée à la base de ses jambes, qui ainsi galbées m’émoustillaient au plus haut degré ; d’autant que l’avant de sa culotte bénéficiait des mêmes raffinements et broderies que le reste de sa tenue.
    
    L’ensemble était si outrageusement échancré que j’appréhendais un saignement de nez de ma part. Elle s’arrêta au bord de l’accoudoir dans un déhanché hautain, posa une main sur sa taille et utilisa l’autre pour se débarrasser les épaules d’une chatouilleuse gêne capillaire.
    
    — Elles en ont, des ensembles comme ça, tes copines ?
    — Euh franchement, non…
    — Ah ? Vraiment… Et ça te plaît, ce que tu vois ?
    — Bah… Carrément, ouais…
    — Donc si j’en crois ce que tu me racontes, tu n’as jamais vu de femme vêtue de la sorte ?
    — Jamais que dans des abribus… enfin, sur les publicités, je veux dire !
    
    Son sourire n’était pas vraiment moqueur, mais le regard qu’elle me jeta par-delà ses montures, lui, l’était. Je la voyais profiter et se délecter de mon malaise apparent. J’avais dû virer rouge pivoine.
    
    — Je te trouble à ce point, trésor ?
    — Euh… un peu, j’avoue.
    — Il n’y a aucune raison… Je t’ai dit que je comptais prendre soin de toi, non ? Viens un peu par là, va, je vais me charger de te détendre… Allez, suis-moi, mon ...
    ... grand.
    
    Langoureusement, une moue aguicheuse en coin, Carmen me tendit la main. Je me levai en l’attrapant, la laissant me traîner jusque dans le couloir, emboîter sur la droite, passer le seuil de sa chambre à coucher, puis me planter devant son pieu. Elle m’abandonna alors là, me libérant de son emprise, et repartit décidée, les épaules droites, la tête haute.
    
    — Je retourne dans le salon : je vais prendre des bougies et éteindre les autres. En attendant, déshabille-toi. D’ici à ce que je revienne, je veux que tu sois debout au milieu de la pièce, entièrement nu.
    
    Une fois seul, je m’étais précipité sans plus tarder, laissant mes habits et chaussures à terre dans un désordre anarchique. Elle était de retour et se tenait dans l’encolure de la porte alors que je retirais mes chaussettes. Un reflex pudique me fit camoufler mon sexe grotesquement imberbe.
    
    Elle laissa planer un long silence, me scrutant lentement des pieds à la tête. Je la sentais électrique. Dans la vacillante lueur des flammes, je percevais en elle un élan plein d’avidité, de gourmandise et d’empressement.
    
    Au loin se tenait une large commode, elle y déposa le chandelier et ouvrit le tiroir supérieur, fouilla quelques secondes, puis en sorti un foulard de soie rouge liseré d’arabesques bleues.
    
    Elle se retourna et referma le meuble avant de se rapprocher à tâtons. Joueuse, elle tortillait orgueilleusement l’étoffe de ses mains manucurées, l’étirant et la toronnant méticuleusement.
    
    Entrecroisant ses ...
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