1. Marché conclu dans un train


    Datte: 20/05/2019, Catégories: Sexe Interracial Hardcore, Partouze / Groupe Auteur: bouzouk, Source: xHamster

    ... ma tendre moitié. Elle ondulait du bassin autour du gland, essayant de forcer l’entrée, se relevait, recommençait, jusqu’à ce que je vis le gland entrer en entier. Elle resta un instant immobile, appréciant la lente dilatation de son trou. Le black exposait ses seins qu’il malaxait. Cet énorme sexe noir contrastait avec la peau très claire de ma femme et cela me rendait à la fois, fou de jalousie et de désir. Elle demanda à l’autre de lui sucer les orteils, ce qu’il fit en ce mettant à quatre pattes comme s’il était un chien soumis. Elle se balançait de droite à gauche et, d’un seul coup, elle descendit jusqu’aux couilles de « bite épaisse » en poussant un râle de douleur ou de plaisir. Le plaisir d’être remplie par un engin aussi gros ?
    
    - Tu veux voir mon trou. Il doit être bien dilaté après avoir été pilonné de la sorte, reprit-elle.
    
    Elle se releva un instant, s’assit sur le black en se balançant en arrière pour me montrer son vagin grand ouvert qui dégoulinait d’excitation. J’avais envie de lui bouffer la moule. Mais déjà elle se retournait et demander à « bite épaisse » de la prendre en levrette. « Bite longue » se mit de l’autre côté pour se faire pomper pendant que l’énorme bite black défonçait l’entrée du vagin de ma femme qui haletait à chaque assaut, sa chatte déversant sa lubricité sur ce phallus noir qui la baiser comme elle l'adore l'être : A quatre patte, le cul en l'air.
    
    Il jouait avec ses fesses, les écartant et les resserrant, examinant son petit ...
    ... trou avec le majeur, pressant délicatement l'entrée de son anus mais continuait ses allers retours violents qui faisaient tressaillir le corps entier de ma copine. L’autre se faisait branler et pomper en même temps. Ma femme utilisait ses deux mains pour astiquer ce long manche et il restait encore presque la place pour en utiliser une troisième. Il grognait de plaisir sous la bouche experte et gourmande de ma chérie qui l’astiquait et le sucer comme une folle pendant que l’autre labourait sa chatte à grands coups de rein bien placés. Elle se retira et s’allongea à même le sol les jambes repliées et relevées et demanda à « bite longue » de la pénétrer.
    
    - Baise-moi avec ton bâton ! Je suis ta chienne pour un instant.
    
    Il ne se fit pas prier plus longtemps, mit un genou a terre et glissa sa queue dans la fente de ma femme. Elle y entra sans problème tant le terrain avait était préparé, déblayé conviendrait mieux, par « bite épaisse.
    
    Sa longue quéquette noire entrait et sortait de ma copine tel un piston à plein régime. Il lui limait le con comme un malade, poussant de petits râles secs chaque fois que son sexe quittait son petit temple humide. Il la pilonna, la niqua, la déchira, la baisa comme un fou pendant prêt de cinq minutes au cours desquelles ma femme hurlait des « vas-y » , des « plus vite », des « plus fort » accompagné du même verbe à l’impératif que tout le monde devrait deviner. Il transpirait, son long corps chocolat ruisselait de sueur tellement il avait ...
«12...678...11»