1. Marché conclu dans un train


    Datte: 20/05/2019, Catégories: Sexe Interracial Hardcore, Partouze / Groupe Auteur: bouzouk, Source: xHamster

    Récit écrit par Rain.
    
    Cela faisait environ une heure que le train roulait dans la campagne. Des champs, des pâturages et des petites collines défilaient par la fenêtre du compartiment. Le contrôleur venait de poinçonner nos billets. Le compartiment prévu pour six personnes en accueillait quatre. Elle et moi, ainsi que deux blacks approchant la trentaine ou l’ayant juste passée, assis côté à côte prêt de la porte. Ils étaient grands, élancés, et leur t-shirt moulant et leur bermuda cachaient deux corps qui semblaient très bien faits. Je les observai un instant et remarquai qu’ils se rinçaient l’œil sur un magazine pour adulte, bien que l’un d’entre eux cherchait à en dissimuler le titre avec sa grande main d’ébène. Elle ne semblait pas les avoir remarqués, plongée dans un livre, les jambes croisées car elle portait une robe blanche ornée de fleurs qui lui donnait des airs de « belle des champs. »
    
    Je continuai à épier les deux lascars et l’un d’eux s’aperçut de mon inquisition. Gêné, je détournai le regard et lançai une banalité à ma copine à laquelle elle répondit promptement et se replongea aussitôt dans sa lecture. Ce coup-ci, je remarquai que c’était eux qui nous regardaient ! Enfin j’eus plutôt l’impression qu’ils la reluquaient ! Sous mes yeux ! Je les affublai de nombreux adjectifs désagréables en pensée, et décidai de me lever pour aller faire un tour dans le couloir. Quand je passai à leur niveau, un des deux dit à l’autre quelque chose en créole ou bien en ...
    ... africain que je ne compris évidemment pas. Mais ils avaient l’air content ! Ils étaient contents que je quitte le compartiment, pour mieux la zieuter ! « Les enfoirés » me dis-je. En même temps que je proférai cette insulte, je fus surpris de constater que mon sexe tressautait légèrement dans mon pantalon. J’étais excité par l’idée qu’ils puissent la mater en mon absence et, étrangement, cela atténua la jalousie qui m’avait poussé à sortie du compartiment.
    
    Je me baladai dans ce couloir étroit et désert, fis quelques allers-retours avant de me diriger aux toilettes. Pendant que je pissais mon esprit commença à s’emballer, je les imaginai s’être rapprochés d’elle afin de pouvoir mieux la lorgner. Je voyais même par projection mentale, un des noir qui mettait la main dans la poche de son bermuda pour se tripoter le sexe. Je me surprenais à imaginer leur vit. J’étais sûr qu’ils étaient énormes ! Un sentiment de jalousie malsaine commença à m’envahir. Je rangeai ma verge dans mon falzar remarquant que ces pensées l’avait faite croitre. Je ne pouvais pas sortir comme ça. S’il y avait quelqu’un dans le couloir, il remarquerait ma bosse. Je la serrai entre mes cuisses pour refreiner mon érection naissante, mais je continuais à me représenter mentalement des scènes qui me dégoutaient, m’enrageaient, et aussi m’excitaient. Tant pis pour la bosse, je voulais vérifier ce qui se passait dans le compartiment.
    
    Je traversai le couloir à grandes enjambées jusqu’à la porte de notre ...
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