1. Marché conclu dans un train


    Datte: 20/05/2019, Catégories: Sexe Interracial Hardcore, Partouze / Groupe Auteur: bouzouk, Source: xHamster

    ... compartiment qu’il me semblait avoir laissé entrouverte… Elle était fermée ! Un instant mon cœur s’arrêta de battre dans ma poitrine. « Les enculés ! » marmonnais-je, prêt à tirer violemment sur la porte coulissante. Je me ravisai et décidai de regarder par un des côtés de la porte qui possédait une vitre, mais les rideaux bordeaux avaient été tirés des deux côtés. Cependant celui à ma gauche avait un coin relevé, découvrant un rectangle de vitre d’environ cinq centimètres sur trois. Je me baissai pour y coller mon œil gauche.
    
    L’un des blacks était assis face à elle et semblait fixer son entrejambe. Elle avait les jambes décroisées. « La salope ! Elle sait qu’il la mate et elle aime ça.» Je réfléchissais à quel sous vêtement elle portait? Et je ne voyais que des strings. Des rouges, des blancs, des bleus, des transparents. L’autre black s’était rapproché d’elle et semblait lire par-dessus son épaule. « Tu parles ! Il doit reluquer ses petits nichons. » J‘étais en colère après elle et en même temps très excité. A cet instant je bandais même comme un âne. Je regardai à droite et à gauche pour m’assurer que le couloir était toujours désert et retournai à mon espionnage. J’étais maintenant convaincu que le black en face d’elle scrutait sa culotte et que l’autre rivait ses yeux sur ses petits seins nus sous sa robe. Comment pourrait-il lire par-dessus son épaule ? Et comment s’était-il rapproché aussi prêt d’elle sans y être invité ? Autant d’interrogations qui ne faisaient ...
    ... que grandir un sentiment de jalousie extrême et une excitation intense dans les plus infimes parties de mon être. Et surtout un besoin de savoir ce qui aurait pu se passer. Ils n’allaient tout de même pas la violer. A moins qu’elle se laisse faire. J’imaginai des choses pas très catholiques. Elle savait que j’allais revenir d’un instant à l’autre ? Elle n’oserait pas quand même ? Celui qui prétendait lire par-dessus son épaule s’approcha d’elle, son biceps effleurant le bras dénudé de ma copine et le salaud appuyait carrément son épaule musclé contre la sienne sans quitter sa place. Ses yeux étaient rivés dans son décolleté. Et elle continuait à faire comme s’il ne se passait rien ! Je décidai de mettre un terme à cette scène qui me rendait fou de rage et là, alors que j’avais toujours l’œil collé à la vitre, son regard croisa le mien une fraction de seconde. Elle se leva brusquement, tira sur sa robe et se dirigea vers la porte. J’arrêtai immédiatement de les épier et rampais pitoyablement dans le couloir avant d’essayer de me relever pour faire semblant d’arpenter le couloir comme si de rien n’était. Mais avant d’être complètement debout la porte s’ouvrit et elle sortit, un sourire que je ne lui connaissais aux coins des lèvres.
    
    Je me sentis ridicule et décontenancé. Mon cerveau cherchait quelque chose d’intéressant à dire, voire de drôle, mais je n’avais pas envie de rigoler. Je voulais crier, hurler, lui dire que c’était une salope, la mettre plus bas que terre, la rouer ...
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