1. Marché conclu dans un train


    Datte: 20/05/2019, Catégories: Sexe Interracial Hardcore, Partouze / Groupe Auteur: bouzouk, Source: xHamster

    ... avoir pour ton voyeurisme !
    
    Elle avait du quitter le compartiment pas plus de trois ou quatre minutes. Je retournai à mon petit bout de vitre et repris mon poste de voyeur. Elle reprit son bouquin et s’assit en écartant amplement les jambes afin que celui face à elle puisse bien regarder cette fois ci. L’autre, comprenant ce qui allait leur arriver, ne se contenta plus d’appuyer son épaule contre la sienne, il glissa sa grande main directement sur sa cuisse qu’il caressa à l’intérieur quelques secondes avant de remonter sous sa robe. Ma copine dit quelque chose à celui qui s’était enhardi et se tourna vers l’autre en lui demandant autre chose. Evidemment je ne voyais que ses lèvres remuer sans entendre le moindre son et cela ajoutait de la tension érotique au spectacle qu’elle m’offrait. Je plongeai ma main dans mon pantalon palmant mon sexe en complète érection. Le black qui lui faisait fasse ouvrit la braguette de son bermuda d’où jaillit un sexe flaccide très sombre de circonférence hallucinante. J’imaginai comment elle devait être en érection. Ce que je n’allais pas tarder à voir car il se leva et fourra son gourdin dans la bouche de ma femme tout en poussant sa tête avec ses grandes paluches pour qu’elle le pompe jusqu’au pubis tant que cela était encore possible. Au bout de cinq ou six allers retours il retira sa queue, laissa tomber son bermuda sur les chevilles, et commença à se branler en approchant ses couilles de ma copine qui les goba, l’une après l’autre, ...
    ... puis les deux à la fois. Sa bite était vraiment énorme, très épaisse, digne des gros godes noirs que l’on peut trouver en sex-shops. L’autre devait enfoncer ses longs doigts dans son con ou lui caresser le clitoris car elle se tortillait sous sa main. Elle léchait les couilles de l’autre et remontait le long de son sexe hors norme en y baladant une langue experte couverte de salive. Elle s’attardait sur son frein et le lui titillait en alternant pressions douces et fortes de la pointe de la langue. Il l’empoigna par les cheveux et lui dit un truc que j’imaginais salace et la força à engloutir ce chibre large qui lui distendait les joues. Elle avait la bouche grande ouverte comme si elle faisait une fellation à une canette de coca. Le black baisait sa bouche avec de petits coups de reins et l’obligeait à avaler sa queue en entier pendant plusieurs secondes consécutives. Après quoi il la relâchait afin qu’elle puisse à nouveau respirer, les yeux larmoyants et le visage couvert de salive à cause d’une telle intrusion au fond de son cou. De la voir faire des gorges profondes à ce chibre noir me filait une trique de tous les diables.
    
    Celui qui baladait ses mains vers la chatte de ma copine avait exhibé son sein droit en tirant sur le soutif avec les dents. Il l’aspirait à pleine bouche, mordillait le téton, le sucer, le lécher tout en continuant ses caresses sous la robe. J’imaginai deux doigts qui s’immisçaient dans la fente déjà humide. L’autre s’amusait maintenant à la gifler ...
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