COLLECTION ANNE MA MUSE. J’aime m’exhiber (1/1)
Datte: 19/05/2019,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... suivre.
L’escalier en colimaçon descendu, je me trouvais devant deux portes dont l’une avait le sigle d’une femme.
J’ai ouvert la porte, la vision de cette femme si grande dame, assise la jupe relevée, urinant sans avoir fermé la porte intérieur, m’a fait savoir et voir que d’autres femmes étaient comme moi et savaient, aimaient s’exhiber.
Elle était blonde et avait aussi une toison bien épaisse.
Ses poils devaient être plus longs encore que les miens, et bien plus soyeux.
Elle m’a tendu du papier de toilette qu’elle avait récupéré.
C’est moi qui lui ai passé ce papier entre les cuisses, doucement, nettoyant la dernière goutte avant qu’elle ne se lève.
Cette scène, qui se déroulait sans un mot, était encore plus érotique quand elle s’est levée, rabaissant sa jupe sur sa chatte, sans aucune couverture, sans aucune protection, sans aucune culotte.
Contrairement à moi, cette grande salope se promenait la chatte à l’air en plein jour, dans Paris.
À mon tour, elle m’a fait m’asseoir, relevant ma jupe et descendant mon bout de tissu.
Une fois assise, j’ai moi aussi urinée, j’avais ouvert mes jambes au maxi dans cet endroit exigu.
Comme elle s’était baissée, elle voyait et entendais mon jet puissant filer vers la cuvette.
Elle a attendu la dernière goutte qu’elle a essuyée, sans utiliser le papier hygiénique, c'est ma culotte qui a servi.
Son travail fait, elle a récupéré son petit sac à mains et l’ayant ouvert elle l’a mise à ...
... l’intérieure.
Les toilettes en plus de cette cuvette avaient un lavabo.
Elle a pris son rouge à lèvres qu’elle a étalé consciencieusement, avant de relisser sa jupe et de me quitter alors que j’étais restée dans la même position, assise, impudique.
J’ai entendu un bruit d’eau tombant dans la cuvette, c’était ma cyprine qui dégoulinait tellement cette scène improbable était excitante.
Je suis remontée récupérer Paul, il a voulu que je lui raconte ce qui s’était passée, je voyais qu’il bandait.
Il va sans dire que je lui ai rapporté les plus petits détails, me les remémorant en même temps pour les graver bien au fond de mon cerveau, et pouvoir vous les rapporter aujourd’hui.
C’est après être rentrée, passant devant plus d’hommes qu’hier semblant attendre l’ouverture, comme au théâtre du rideau, que la lampe projetant vers eux allait me permettre de me monter une dernière fois, avant notre départ le lendemain matin.
Paul, comme la veille, m’a baisée, j’étais appuyée sur la plaquette sous la fenêtre opaque.
Nul doute que les voyeurs étaient satisfaits du spectacle que nous leur proposions.
Au petit déjeuner, l’homme était remplacé par un couple de vieilles personnes. Dommage. Je n’ai pas eu le plaisir d’écarter mes cuisses une nouvelle fois.
Nous avons repris ma voiture et nous sommes rentrés chez nous.
Voilà ce que je peux rapporter de ma première expérience d’exhibitionniste à Chris71.
J’espère qu’il aura su retransmettre l’intensité de ces moments rares que ...