1. COLLECTION ANNE MA MUSE. J’aime m’exhiber (1/1)


    Datte: 19/05/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
    
    COLLECTION ANNE MA MUSE. J’aime m’exhiber (1/1)
    
    Vous commencez à me connaître, je suis la muse de Chris71.
    
    À ce titre il a créé pour moi ma propre collection « Anne ma muse ».
    
    Vous savez que je m’appelle Anne, j’ai 58 ans secrétaire dans une entreprise de transport.
    
    Parmi mes fantasmes, j’en avais un que j’ai commencé à réaliser ayant 22 ans.
    
    J’étais mariée avec Paul depuis six mois quand pour notre lune de miel, nous avions décidé, vu nos faibles moyens de passer une semaine à Paris.
    
    Pas dans un palace, mais dans un hôtel de Pigalle.
    
    Je vois déjà les vicieux.
    
    Ne croyez pas que j’ai monté des clients, non, bien que dans ces années-là, des chandelles travaillaient encore dans ces rues et se faisaient des clients dans des hôtels borgnes.
    
    On les appelait chandelles car elles attendaient le client debout, sans bouger, au pied de ces hôtels.
    
    Non, nous rentrions tranquillement d’un restaurant et d’un spectacle d’effeuilleuse où j’étais la seule femme dans la salle.
    
    Et à quelques mètres de l’entrée de notre hôtel, j’ai vu au premier étage, la fenêtre voisine de notre salle de bains.
    
    Malgré une vitre opaque, un homme se passait une serviette sur le corps.
    
    Je savais qui il était sans le connaître, je l’avais vu entrer dans sa chambre au moment où nous sortions de la nôtre.
    
    Il était grand, plus grand que Paul et pour la première fois depuis notre mariage, un autre homme aurait pu me ...
    ... faire renier mon serment tout juste donné car il était séduisant.
    
    Ce qui avait attiré mon intention, c’était cette simple ombre, surtout au moment où il s’est essuyé méthodiquement la verge.
    
    Suivant les mouvements de son corps, même au repos, chaque fois que la lumière de la lampe me le permettait, j’ai eu le temps de voir qu’il en avait une bien plus grande que Paul.
    
    C'était nouveau pour moi et impressionnant.
    
    Je ne me suis pas arrêtée, évitant de passer pour une voyeuse, alors que des hommes l'étaient, le faisant sans vergogne étant assis sur deux bancs en face de ces fenêtres.
    
    Surtout que mon mari n’avait pas vu ce qu’une simple lampe et une fenêtre opaque avait d’érotique.
    
    Je sentais que pour la première fois, ma chatte, d’un coup, était devenue humide.
    
    Quand nous avons été dans le petit ascenseur de l’hôtel, je me suis collée à Paul.
    
    Il a dû penser que c'étaient ses beaux yeux qui faisaient couler ma cyprine le long de mes jambes quand il m’a passé une main.
    
    S'il avait su !
    
    Entrés dans notre chambre, j’avais envie de courir dans notre salle de bains pour voir si une lampe me permettrait de jouer aussi en ombre et lumière et de donner un spectacle érotique.
    
    Les hommes sur les bancs devaient se trouver orphelins de la vision.
    
    À quelques mètres de moi, dans la pièce voisine, l’homme ne se sachant pas observé avait dû déjà quitter la pièce en éteignant la lumière.
    
    Les toilettes étant aussi dans cette pièce d’eau, j’y suis allée alors que ...
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