1. COLLECTION ANNE MA MUSE. J’aime m’exhiber (1/1)


    Datte: 19/05/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... mienne. Que voulait-il faire ? J’ai pris peur et j’ai refermé le compas des miennes précipitamment.
    
    L’homme devinant ce spectacle terminé, se leva et sortit sans un regard vers moi alors qu'il est passé à quelques centimètres de nous.
    
    Les sensations qui étaient en moi, de plaisir et de frustration, qu’il soit passé sans un regard pour moi, me marquent encore quand aujourd'hui j'y pense ou que je le raconte.
    
    Nous avons quitté l’hôtel. Dehors, sur les deux bancs, des mamans avec leurs enfants en bas âge avaient remplacé mes voyeurs.
    
    Dans ces années-là, Paris n’était pas le Paris de maintenant, il était facile de trouver des places pour se garer pour la nuit.
    
    Nous avions ma voiture, Paul étant bohème et plutôt écolo avant l’heure, ne se déplaçant qu’à vélo.
    
    Pas de voiture, et pas de permis, il aimait que je le conduise.
    
    Je voulais aller à la Tour Eiffel, il y avait de la circulation à cette heure-là.
    
    Un bus est venu se placer à notre hauteur, j’ai regardé ma jupe, les gens près des fenêtres devaient avoir une vue sur mes jambes et aussi mes mollets et mes cuisses, tellement elle était remontée.
    
    C’est à ce moment, avant que nous nous mettions à rouler de nouveau, que Paul m’a fait comprendre que ses coups de sexe dans la salle de bains n’étaient pas anodins.
    
    Il a passé sa main sur mes cuisses, m’a regardé et a soulevé ma jupe allant même jusqu’à écarter ma culotte.
    
    Ma touffe ne pouvait pas échapper à ceux qui étaient aux premières ...
    ... loges, je n’osais pas lever la tête, ils auraient vu que j’étais rouge de honte.
    
    Le bus a démarré avant nous. Et au moment où moi aussi je devais avancer, j’ai calé sous la puissance de la jouissance qui se produisait, grâce ou à cause des doigts agiles de mon petit mari.
    
    Par chance au feu suivant, le spectacle a recommencé avec deux doigts de Paul dégageant mon clitoris, je coulais, coulais, coulais, étant sûr d’avoir mouillée mon siège.
    
    J’ai osé relever ma tête, un homme me regardait, il avait les yeux qui lui sortaient de la tête, ce qui décuplait une nouvelle fois le plaisir de me montrer, de me savoir regardée.
    
    C’est à ce moment qu’il m’a avoué avoir vu lui aussi hier soir l’homme en ombre chinoise se séchant la bite.
    
    C’est à ce moment qu’il avait compris que j'avais des envies de m’exhiber.
    
    Et il me demanda que dans la journée, chaque fois que cela était possible, je devais provoquer qui un homme, qui une femme.
    
    Oui, je dis bien une femme aussi, et ça a été le cas à la terrasse d’un café Place du Trocadéro, à deux pas du Trocadéro.
    
    Nous étions remontés de la Tour Effel à pied, traversant la Seine, le nombre de marches m’ayant épuisée.
    
    C’est au moment où j’ai croisé mes jambes que j’ai vu le regard de cette femme élégante à deux pas de nous.
    
    Combien de fois les ai-je croisées et décroisées, avant de la voir se lever et se rendre vers les toilettes.
    
    Paul aussi avait vu qu’elle s’intéressait à moi, il m’en a informé, me demandant de la ...