1. Tarzan sans sa forêt


    Datte: 18/05/2019, Catégories: 2couples, couplus, jalousie, Transexuels Oral préservati, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, confession, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... magnifique. Il est évident que la chirurgie a fait son œuvre sur cette femme et lui a donné des attributs de déesse.
    
    La seconde suivante je n’ai plus que le spectacle de Carmina penchée entre les jambes de ma femme. Une croupe charnue dont la raie cache le fin tissu de la culotte. Des hanches que je me retiens de ne pas aller prendre à pleines mains. Des épaules rondes et surtout une chevelure qui ondule au rythme de la tête qui s’active. Une tête qui disparaît entre les cuisses de ma douce Lucie. Ma douce femme que la pénombre a libérée. Il fait cependant assez clair pour que je puisse voir sur son visage la progression des caresses de sa maîtresse. Les cuisses sont largement ouvertes pour offrir sa féminité. Je connais ce petit pincement des lèvres, ce plissement des yeux et ces petits souffles qui accompagnent son plaisir. Je voudrais m’approcher pour mieux profiter du spectacle mais n’ose pas, de peur de détruire l’ambiance.
    
    Pourtant Lorenzo se lève. Debout il paraît encore plus grand depuis la place que je tiens. Je le vois faire sauter ses habits, sans un bruit et se rasseoir. D’un geste il m’invite à faire comme lui. Quelques secondes plus tard je libère ma verge déjà bien tendue du spectacle et le rejoins sur le canapé. Les femmes s’activent. Lucie gémit. Soudain une main rampe sur mon bas-ventre et vient se saisir de ma verge dure. C’est mon voisin qui explore mon dard. Quelle étrange situation ? Jamais un homme ne m’a branlé. Ce n’est pas désagréable. Mais ...
    ... peut-être attend-il que je fasse comme lui ? J’ose avancer une main. Elle rencontre un ventre plat, descend à la recherche d’un sexe que je ne découvre que mollement alangui, sans la vigueur que je m’attendais à y trouver. Le spectacle des femmes ne lui a pas encore apporté l’excitation nécessaire.
    
    Bien vite, je sens que le membre réagit à mon contact. Le serpent semble ramper sur le ventre. Il se déploie lentement. Enfin la verge durcit et ma main peut s’emparer d’un bâton d’homme. Je ne résiste pas à la curiosité d’aller palper les bourses avec mon autre main. Il fait trop sombre, mais mes doigts sont des yeux qui découvrent que la bosse du pantalon de sport n’était pas une coquille falsificatrice. Lorenzo est fort et musclé de partout. La bite est en accord avec l’homme, longue et large. J’ai bien du mal à en faire le tour avec la main et les bourses ne sont pas en reste. J’ai une pensée coquine pour Lucie qui va devoir s’enfiler ce morceau de gourdin. Le Tarzan de son rêve en avait-il une si longue ? Mari prévenant, je décide cependant de protéger son petit cul d’un tel monstre.
    
    Mais Lorenzo en veut plus. Alors que j’entends les gémissements de Lucie qui jouit de sa maîtresse, une main puissante se saisit de mon cou pour me forcer à fléchir le corps. Ma tête se retrouve sur le ventre de l’homme et pour éviter de me rompre les reins, je m’agenouille sur le canapé. La main continue de me pousser pendant que l’autre présente le sexe vertical. La pression cesse. Je suis ...
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