1. Tarzan sans sa forêt


    Datte: 18/05/2019, Catégories: 2couples, couplus, jalousie, Transexuels Oral préservati, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, confession, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... vient à la maison.
    
    Lucie reçoit nos invités. Bises de circonstances. Je découvre Carmina, brune mince avec une poitrine qui déforme sa robe où j’imagine déjà y glisser ma queue. Mais on n’est pas des sauvages et on bavarde comme si de rien n’était, alors que je ne peux pas dégager mon regard du décolleté de la femme. Une poitrine comme cela doit être un nid douillet où une queue peut disparaître sans effort. En revenant de la cuisine avec une nouvelle bouteille de champagne, j’ai la surprise de découvrir que Carmina est en train de rouler une pelle à ma Lucie. En silence je rejoins Lorenzo sur le canapé et tout en ouvrant la bouteille je ne quitte pas des yeux le couple en face. Lucie se laisse faire, petite chose entre les mains d’une maîtresse. Son regard croise le mien. J’y lis la surprise et j’essaie de la rassurer d’un sourire. Sa partenaire l’abandonne un instant pour reprendre sa coupe de champagne, et la conversation reprend comme si rien ne s’était passé.
    
    Je n’ose bouger. Je me souviens des conseils de Lorenzo. Ne faites rien, laissez-nous tout organiser. Lucie me questionne du regard mais je fais l’homme qui sait et qui assure. Carmina reprend son jeu de séduction. Elle prend Lucie par la main pour la faire lever et entreprendre un corps à corps où Lucie n’est toujours qu’une poupée entre les mains qui la caressent et une bouche gourmande qui fouille la sienne. Les deux femmes sont de la même taille, seins contre seins, pubis contre pubis. Lorenzo se penche ...
    ... vers moi et me dit :
    
    — Baissez les lumières. Lucie sera plus à l’aise.
    
    Lui aussi a remarqué que ma femme, même si elle ne repousse pas Carmina, ne cesse de regarder dans notre direction. Trois clics et je transforme notre salon en une zone d’ombres qui s’éclaircit un peu lorsque nos yeux s’habituent. Il a raison, tout semble plus diffus et intime. Le seul éclairage que j’ai conservé est celui du couloir qui mène à la cuisine. Ainsi, Lorenzo et moi sommes à contre-jour. Les femmes ne doivent plus que nous deviner, ombres chinoises émergentes de la tache noire créée par le canapé.
    
    Je redeviens un spectateur attentif, guettant chaque mouvement des deux corps qui se frottent. Enfin, je vois les mains de Lucie accepter de se détacher des épaules de son amie pour aller se poser sur ses hanches. Il me semble aussi que le baiser est plus intense, que les visages bougent, signe de langues qui bataillent. Depuis longtemps Carmina caresse le corps de ma femme et c’est sans surprise que je vois sa robe se détacher, d’abord des épaules, puis glisser jusqu’au sol sans que les deux femmes se séparent vraiment. Elle ne laisse pas Lucie reprendre son souffle et s’attaque à la lingerie.
    
    La bataille est gagnée. Ma femme est nue, poussée contre le fauteuil par sa maîtresse et alors qu’elle s’y installe, Carmina fait tomber chemisier et jupe pour ne garder qu’une culotte. Je peux voir cette poitrine de rêve, lobes parfaits, gros mais pourtant fermes, portant fièrement une féminité ...
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