1. Tarzan sans sa forêt


    Datte: 18/05/2019, Catégories: 2couples, couplus, jalousie, Transexuels Oral préservati, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, confession, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... libre de mes mouvements. Seule la verge est maintenue bien verticale, monument dressé en face de mon visage. Je vois maintenant ce que l’ombre me cachait mais que mes mains avaient identifié. Elle est encore plus grosse que je pensais. Que faire ? Mon cerveau se torture. Je ne suis pas certain qu’il soit tout à fait serein et libre de toute contrainte. Mon sang doit charrier des flots d’hormones. Si je refuse, nos invités ne vont-ils pas partir car je n’aurai pas joué leur jeu ? Alors, fini ce qui avait bien commencé.
    
    Il suffit que je fasse ce que Lucie me fait si souvent. Mes lèvres touchent pour la première fois le bout d’un gland, découvrant cette douceur et la peau si fine qui semble si fragile. J’y découvre la fameuse goutte que tous les hommes sécrètent dès qu’ils sont excités. Goût anodin, sans saveur, ni odeur. Étrangement je pense un instant que c’est moi qui ai déclenché cette érection. Mes mains. Mes doigts. Mes branlettes. Ma présence, peut-être ? Je m’essaye à avaler le gland, mais renonce devant sa taille. Comme tous les hommes, j’ai toujours une pensée que je reconnais inconvenante dans le monde où nous vivons, devant ces femmes qui ont de grandes bouches. Des actrices bien connues, des passantes dans la rue que mon cerveau imagine fellatrices divines, capables de nous pomper avec ardeur. Pardon pour ces pensées malhonnêtes. Mais après tout, n’est-ce pas du même genre que ces femmes qui se font refaire les lèvres pour les gonfler ?
    
    Si je ne peux pas ...
    ... l’avaler, au moins je peux le sucer et le lécher. Étrangement la queue est lisse, uniquement marquée par la base du gland. La hampe est une tige bien droite avec une peau légèrement graveleuse mais sans plus. Même les bourses sont lisses. Je les imagine, machine à produire du sperme qui va bientôt aller inonder la chatte de ma Lucie. Mais non, suis-je bête. Pas question. Protection obligatoire. Le jus que je sens sourdre dans les couilles ne va se répandre que dans la capote ou peut-être en dehors du vagin.
    
    La pièce est maintenant silencieuse. Je n’entends plus que le bruit de ma bouche et de ma langue qui s’activent. Qui s’activent au service de Lucie, pour bien préparer cette verge, la rendre encore plus dure mais aussi plus humide et glissante afin que son vagin la reçoive avec plaisir. L’ombre bouge. Un autre visage s’approche. Je reconnais ma femme qui vient me rejoindre. Nos langues, dans une perversité que je n’aurais jamais imaginée, se rejoignent autour de cette queue, mât dressé pour des assauts futurs. Nous jouons, complices dans la luxure, comparses d’un rêve inachevé, avec le bâton tendu.
    
    Je sursaute. Quelqu’un vient de se glisser derrière moi. Cela ne peut être que Carmina. Elle me branle de ses mains de femme, plus douces que celles de Lorenzo. Mieux, sa bouche et sa langue se glissent dans mon sillon que je lui propose dans une position plus féminine que masculine. Sa main me caresse. Sa langue glisse de mes bourses à mon petit trou, dans une feuille de rose ...
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