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Frère de sang (3)
Datte: 17/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Jane Does, Source: Xstory
... debout. — Eh bien ! Si tu n’aimes pas cela, tu me le diras. Regarde ! Tu en as pissé partout, ma jolie cochonne. — ... ! Désolée, mais je ne pouvais plus me retenir. — Tant mieux... Bon si nous allions au salon, mettre au point notre stratégie pour la réception de notre... ami Gilles. — Je... je n’ai pas très envie qu’il me voie à poils. Encore que depuis un bout de temps, c’est en pointillé qu’il découvre certaines parties de moi. — Celles que moi seul tripote souvent ? — Pas que toi ! Je sais aussi m’en occuper sans tes pattes... — Je vois... allons viens ! Nous serons plus à l’aise sur le canapé. — Vas-y ! Je dois nettoyer cette porcherie avant tout... Il rit et file vers le salon. C’est la serpillère qui fait le boulot. J’aime que tout soit net avant de passer rejoindre Hervé. Je dois dire que je suis gagnée par une appréhension bien légitime. Que va-t-il bien m’annoncer pour en finir avec mon patron ? Le sujet revient sur le tapis et j’en discute les moindres détails. Lui est très en verve et semble avoir tout prévu. Je prends mentalement des notes et c’est une partie de jambes en l’air qui clôture notre entretien à bâtons rompus. Je refuse qu’il me montre comment il va prendre mon boss. Je savourerai bien assez tôt cette sodomie prévue et espérée. Encore faut-il que le bonhomme soit consentant. Mais Hervé a tout imaginé et je serai l’appât... pas de cul avec moi s’il ne se laisse pas prendre. Ça a l’air si simple, si facile que j’en ...
... souris. Mais bizarrement ce qui m’excite le plus, c’est que cette bite qui me laboure le sexe avec bonheur puisse aussi s’introduire dans l’anus de ce foutu gros porc de Gilles ! Et curieusement... rien que l’idée me donne des pulsions lubriques. Est-ce que je deviendrais une pure salope au contact de mon amant ? La petite employée modèle arrive ce matin avant les deux autres. J’ai l’impression que Gilles est déjà sur place. Aurait-il passé une mauvaise nuit ? La porte de son bureau est entrouverte, ce qui est très inhabituel. Lui si carré, qui se recroqueville toujours dans son antre comme un ours, qui ne supporte pas que sa tanière soit visible de nos postes de travail, ça ne lui ressemble pas de ne pas avoir refermé derrière lui. Alors, curieuse, je vais jeter un coup d’œil. Il est bien là debout devant ce qui me semble être une photo. Et le spectacle que j’entraperçois me fait flipper. Il tient à la main un gourdin assez indescriptible. Sa queue que ses doigts encerclent est... monstrueuse. Pas par ses dimensions, plutôt par sa forme. On jurerait un champignon ! Un cèpe même, avec un pied arrondi dans son milieu et un énorme renflement en guise de gland. Le mec balance son poignet d’avant en arrière et murmure tout seul des mots que je suis trop loin pour entendre distinctement. C’est effarant. La scène est rapide et une traînée blanchâtre fuse sur ce que je perçois comme une image, une photographie en noir et blanc. De la main qui ne branle pas, Gilles se saisit d’un ...