1. Frère de sang (3)


    Datte: 17/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Jane Does, Source: Xstory

    ... lui qui commande et moi pour garder ma place... j’obéis.
    
    — On peut ne pas exécuter tous les ordres reçus... et puis, pas besoin de se laisser draguer pour obtenir de l’avancement.
    
    — Si c’est ce que tu penses, tu peux repartir à ta place ! Fiche-moi la paix ! Tes grands sermons tu te les gardes pour toi, d’accord ?
    
    Elle file amère de s’être ainsi fait virer de mon lieu de travail. Mais cette incursion et les propos plutôt vifs que nous venons d’échanger me font penser que cette fois, il me faut agir plus rapidement. Et lorsque le pervers m’invite pour la énième fois à le suivre dans son burlingue, je décide de mettre le paquet. Je m’installe sur le siège comme je le fais depuis quelques jours. Pour ce faire, je prends l’ourlet de ma jupe et le soulève gracieusement. Bien sûr, il suit chacun de mes mouvements. Mais cette fois, je me relève prestement, comme si un truc me gênait sur l’assise. Pour faire semblant de regarder, je lui tourne le dos.
    
    Puis les jambes bien serrées l’une contre l’autre, sans fléchir les genoux, je me penche en avant. Ma main passe sur le velours du siège négligemment. Bien sûr, ma jupe relativement courte se relève et il doit voir plus haut que la normale mes cuisses. Peut-être même aperçoit-il mes fesses dénudées et j’imagine qu’il bave d’envie. Enfin, je reviens à ma position initiale et croise haut mes guibolles.
    
    — Je vous écoute Monsieur.
    
    — Euh... Gilles, c’est Gilles pas Monsieur.
    
    — Bien Monsieur Gilles...
    
    J’enfonce le ...
    ... clou. Il ne sait plus où donner de la tête.
    
    — Ce courrier... urgent ou pas ? Comme les précédents ?
    
    — ... ! Oui, oui ! Urgent.
    
    — Allons-y alors !
    
    Il bafouille pour me dicter un truc qui ne veut rien dire. Et là je lève une jambe en fixant ma cheville. Ma main vient masser celle-ci juste au-dessus de mon escarpin. En me penchant outrageusement, je sais qu’il a une autre perspective. Une vue presque en contre-plongée sur ma poitrine. Et mes seins eux aussi sont libres de tout maintien. Sûr que ces deux boules bien rondes doivent faire leur petit effet sur les sens du bonhomme.
    
    Je me redresse, un petit bout de langue serré entre mes lèvres. De mes quinquets brillants, je lui jette une œillade des plus naturelles. Il est comme une pivoine. Sidéré, il ne sait plus trop quoi dire.
    
    — Je vous écoute, Monsieur Gilles...
    
    — Myriam... depuis que vous travaillez chez nous, je n’ai jamais eu l’occasion de...
    
    — Oui ? De quoi Monsieur ?
    
    — De vous parler vraiment. Vous êtes une employée modèle. Toujours à l’heure, vous ne réclamez jamais rien. Je voudrais... j’aimerais... comment vous dire cela ?
    
    — Tout simplement en me parlant Gilles.
    
    J’omets volontairement le monsieur, dans le but avéré de lui donner le coup de grâce.
    
    — Si j’osais, puisqu’enfin vous oubliez le « Monsieur » pour mon prénom... si j’osais...
    
    — Eh bien ! Osez Gilles...
    
    — Vous seriez d’accord pour déjeuner ou dîner avec moi ?
    
    — Mais... mon mari... je ne sais pas s’il serait d’accord, ...
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