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Frère de sang (3)
Datte: 17/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Jane Does, Source: Xstory
... couvre mes grandes lèvres n’est pas due à autre chose qu’à ces images et ces idées qu’il a distillées dans mon cerveau. Il y a belle lurette que le diablotin rubicond a gagné la bataille qu’il livrait à l’angelot blanc, avec qui il cohabite sous mon crâne. Et ma main part en éclaireuse pour venir tâter ce bâton qui se heurte durement à mes fesses. Mes doigts savent où chercher et le bruit si familier d’un zip de braguette qui glisse pour délivrer l’oiseau se fait musique de cuisine. — Humm ! Tu es super géniale Myriam... tu sais de quoi j’ai envie là ? — Je m’en doute ! Vu la rigidité de la hampe du drapeau... mais tu sais, tu sens bien que je n’y suis pas hostile... — Non ! J’ai juste besoin que tu me prennes en bouche que tu... me suces. — Ah ! Ah ! Monsieur veut une petite pipe ? — Pipe oui ! Petite ! Pas si sûr ! Non une pipe royale avec évacuation de la fumée... tu saisis le délire ? — Je n’aime guère faire les finitions, mais bon... pour une fois une exception... je veux bien essayer... — À la bonne heure. À genoux alors. — Là ? Sur le carrelage de... tu n’as donc pas pitié de mes malheureuses articulations ? — C’est bon aussi de te découvrir juste un peu chienne. Allons, exécution ! À genoux, c’est le moment de sucer le nonosse. Je renâcle pour la forme et finis par m’exécuter. Je l’ai souvent prise entre mes lèvres cette excroissance naturelle, mais je suis rarement allée au terme de l’action entreprise. D’une part parce que je n’en ...
... aime guère le goût, et surtout parce que mon amant n’a jamais su attendre. Il m’a toujours investi la chatte dès qu’il se sentait proche de jouir. Pourtant, lors de cette séance de fumette, il n’a pas l’air pressé de me mettre en position coïtale. Et je m’applique à lécher la barre qui je l’avoue, me fait de plus en plus envie. Une formidable montée d’un désir inouï me surprend alors que je cramponne d’une main la queue et que de l’autre, je cajole les bourses. Hervé se contente de me laisser faire, et au fur et à mesure de la croissance de son plaisir, il finit par poser ses paumes sur ma chevelure. Je ne saisis pas de suite que lorsqu’elles s’agrippent à ma nuque c’est pour mieux garder la trique au fond de ma gorge et le premier jet d’une substance chaude me surprend. Je ne peux plus faire reculer ce qui m’obstrue la gorge. Ce salaud me maintient bien en place et se vide lentement dans mon gosier. Malgré mon haut-le-cœur, il ne lâche pas sa prise. Je déglutis une rasade conséquente de ce sperme que d’ordinaire je répugne à avaler. Là... je n’ai guère d’autre choix. Et j’avoue que ça me fait mouiller d’une façon outrancière. Je visualise la chose et mon Dieu, je pressens également les spasmes de folie qui envahissent mon ventre. Je n’en reviens pas ! Je jouis avec seulement la queue d’Hervé dans le bec... et quelle intensité dans cette montée du plaisir ! J’en lâche une giclée d’un liquide qui inonde le sol... Mon frère retire ses paluches et il m’aide à me remettre ...