Orgasmes et statistiques
Datte: 16/05/2019,
Catégories:
ff,
hh,
ffh,
frousses,
nympho,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
Humour
sf,
hff,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... clitoris en tortillant du bassin.
Je savourai quelques minutes leurs douces caresses buccales mais elles se relevèrent bientôt. Juliette vint s’agenouiller à califourchon sur mes cuisses et s’empaler brutalement sur mon sexe tendu dans un long gémissement. Éloïse l’observa faire avec un sourire, puis vint se positionner debout juste au-dessus de moi, les jambes légèrement écartées ; elle s’appuya d’une main sur le dossier du canapé et de l’autre, elle me saisit la tête et la plaqua contre son pubis, pour m’ordonner silencieusement de m’occuper d’elle aussi.
Je léchai sa vulve en feu jusqu’à m’en faire mal à la langue pendant que Juliette montait et descendait ses hanches au-dessus de mes cuisses ; toutes les deux gémissaient ou couinaient même. De ma main gauche, je pressai les fesses d’Éloïse, et de la droite je caressai les gros seins fermes de Juliette qui se balançaient au rythme de ses déhanchements. Je la sentais compléter mes caresses sur ses seins d’une main et s’exciter le clitoris de l’autre.
Mais Éloïse, sans doute inconfortablement installée, se recula bientôt et vint s’asseoir sur mon bas-ventre, le dos collé contre Juliette. Celle-ci, sans cesser de se déhancher, referma ses mains avides sur les seins de la jeune femme et elles s’embrassèrent à pleine bouche. Éloïse se caressait d’une main et passait l’autre dans les cheveux flamboyants de sa partenaire.
Je guidai bientôt Éloïse pour qu’elle revienne se positionner presque comme précédemment, mais ...
... dans l’autre sens, faisant face à Juliette. Et comme elle s’asseyait quasiment littéralement sur mon visage, je tirai doucement les mains de cette dernière vers moi, et nous plongeâmes simultanément, Juliette et moi, nos langues le long de la raie d’Éloïse. Celle-ci se mit à gémir plus fort qu’auparavant comme ma langue tentait de s’immiscer dans son anus. Pour le coup, son cul sentait presque la rose ou en tout cas dégageait la même fraîcheur que le reste de sa peau, exempt qu’il était de toute trace de quelconque défécation, ou même de transpiration.
Juliette se dandinait au-dessus de moi à toute allure, pressant mon sexe dans le sien, et je la devinai lécher passionnément le clitoris et la vulve brûlante et coulante d’Éloïse. Cette dernière ne résista pas longtemps sous les caresses conjuguées de nos langues sur ses deux orifices. Ses gémissements devinrent de véritables hurlements qui allèrent croissants dans la durée et la puissance au rythme de ses déhanchements amplifiés, jusqu’à un cri final qu’elle poussa en se cambrant et se raidissant soudainement, avant d’éclater en une nuée d’innombrables grains de lumière tournoyant plus vite que jamais au-dessus de moi dans un fatras d’éclairs multicolores.
L’orgasme de notre partenaire et les gros seins de Juliette qui m’écrasèrent soudain tandis qu’elle se laissait choir sur moi pour venir m’embrasser de ses lèvres trempées du plaisir d’Éloïse, c’en fut trop pour moi. À mon tour, je me contractai dans une ultime clameur ...