1. Orgasmes et statistiques


    Datte: 16/05/2019, Catégories: ff, hh, ffh, frousses, nympho, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, Humour sf, hff, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    Résumé : J’ai rencontré deux extra-terrestres surprenants ! Ils sont composés de myriades de grains de lumière tourbillonnants et peuvent prendre n’importe quelle forme, humaine ou non. Ils sont venus sur Terre pour rencontrer un certain docteur Robert Shank. Mais voulant faire un peu mieux leur connaissance avant de les accompagner pour le retrouver, j’ai réussi à les convaincre de choisir chacun l’apparence d’une sublime bombe sexuelle et je leur ai fait découvrir les plaisirs de l’amour physique.
    
    Après avoir baptisé Juliette et Éloïse mes deux nouvelles amies, je les ai conduites au cabinet du psychiatre Robert Shank. Mais celui-ci est devenu fou en apprenant que je leur avais enseigné les joies du sexe ; il m’a expliqué que ces êtres jouaient un rôle fondamental dans l’équilibre de l’univers et que ma conduite aurait des conséquences catastrophiques ; et pour finir, il s’est mis en tête de me supprimer. Mais il a été lui-même éliminé par les deux extra-terrestres.
    
    Je m’éveillai au son de leurs gémissements plaintifs ; un coup d’œil sur la pendule m’apprit que j’avais dormi deux petites heures dans le canapé. À côté de moi, Éloïse était assise à califourchon sur les cuisses de… moi-même ; l’un d’entre eux avait repris mon apparence. C’était vraiment bizarre. Je me levai et leur souhaitai une bonne nuit, leur expliquant que ma chambre était au-dessus et qu’ils/elles pouvaient venir me trouver si nécessaire.
    
    Mais je ne parvins pas à me rendormir. J’étais tracassé. ...
    ... Je tournais et retournais dans ma tête les paroles du défunt psychiatre ; et je cherchais à m’imaginer la suite des événements. Qu’allais-je faire de mes deux hôtes ? Là, ça allait, j’étais en vacances encore quelques jours, mais après ? Et puis surtout s’ils passaient tout leur temps à baisouiller ! Heureusement d’ailleurs que j’étais en vacances, car il était déjà cinq heures vingt et je n’avais dormi qu’à peine deux heures…
    
    Et les flics… Ils viendraient forcément chez moi ! Ce n’était pas moi qui avais buté le toubib, mais comment le prouverais-je ? D’un autre côté, personne ne trouverait jamais son corps. Je n’aurais qu’à dire que j’avais amené deux vieillards dérangés chez lui, comme pourraient l’affirmer tous les témoins, et que quand je l’avais quitté, il se portait à merveille. Bah, on verrait bien…
    
    Putain, merde, six heures du mat’ ! Et toujours impossible de m’endormir ! Je décidai de me relever. J’allais d’abord prendre une bonne douche, ça me requinquerait. Ensuite j’irais voir mes gugusses qui devaient selon toute probabilité être encore en train de copuler dans le salon.
    
    Bingo ! Une fois lavé, séché, rasé et habillé, je descendis les rejoindre et je les trouvai à l’endroit où je les avais laissés, mais pas tout à fait dans la même configuration : j’avais cette fois-ci en face de moi deux clones de moi-même ! Allongés par terre, sur le côté, nus et en soixante-neuf, chacun en train de sucer la queue de l’autre. Hier soir, quand je m’étais trouvé pour la ...
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