1. Le labyrinthe


    Datte: 15/05/2019, Catégories: fh, couple, copains, amour, volupté, BDSM / Fétichisme intermast, entreseins, Oral pénétratio, jeu, init, Auteur: Laure et JP, Source: Revebebe

    ... d’aventures et, dans la plupart des cas, décevantes. Souvent c’est aussi fonction du partenaire et, pour une femme, ce qu’elle a dans la tête, même inconsciemment la plupart du temps, un autre homme réel ou virtuel. La suite montrera à quel point c’est vrai, que l’eau qui dort peut se transformer soudain en torrent…
    
    Bref, en peu de temps, ne serais-je devenue pour mon mari qu’un accessoire, un beau vase sur une commode ? Alors que, sans avoir je pense de gros besoins, des envies diverses m’assaillent, consciente aussi d’avoir certaines inhibitions, des blocages, ce que des confidences avec mes amies me démontrent.
    
    Dans ces conditions, toute jeune femme « gamberge ». Ceci explique peut-être cela. En tout cas vient le jour où…
    
    o-o
    
    Le jour où tout bascule, moi y compris. De ces jours où le Destin malin vous réserve un de ses tours, sans préavis.
    
    Pour le décor, un déjeuner dans le jardin, un dimanche avec quelques copains, du soleil, un barbecue, un peu de rosé. Et bien sûr la présence de Marc, mon quasi-frère. Somme toute, une journée agréable mais ordinaire s’annonçait.
    
    Mon mari, en plus – devrais-je dire pour la provocation – insiste pour nous installer à table l’un à côté de l’autre : « Mais oui, on ne vous sépare pas tous les deux ! » susurre-t-il. Rien de particulier jusque-là, c’est fréquent que, Marc étant seul, on le place à mes côtés.
    
    Il fait chaud, avec un peu d’air, et je suis vêtue d’une robe légère pourvue d’un fort décolleté, et celle-ci ...
    ... prend la manie de s’envoler quelque peu, à tout moment, découvrant mes cuisses. Marc s’en amuse et me remet d’une main l’étoffe en place. Et là se produit le fameux déclic inattendu qui va tout changer.
    
    — Dis donc, tu es bien foutue ! Mignon, tout ça ! minaude-t-il.
    — Tu ne le remarques que maintenant ! gloussé-je, un peu agacée, sachant que ses compliments sur mon physique sont rares ou massacrants.
    — Certes non ! réplique-t-il, mais je ne sais pas, aujourd’hui, c’est la robe sans doute…
    — Goujat ! En plus tu lorgnes mes seins ! m’insurgé-je faussement, reprenant ainsi nos jeux de chamailleries d’antan. Et de toute façon tu t’en fous ! précisé-je l’air pincé.
    
    Il se contente de rire en me serrant le bras. Contre toute attente, le contact m’électrise. Eh ! Pourquoi ? Il le sent, me regarde, les lèvres crispées. Une seconde où nous sommes comme seuls, où nos regards se fondent, se noient, comme jamais ce n’est arrivé. Mon trouble doit être criant car il s’en inquiète.
    
    — Laure… ça va ? risque-t-il, gêné.
    — Oui, oui, un frisson, le vent, sans doute, bredouillé-je, confuse et déstabilisée.
    — Avec cette robe, tu es presque nue ! Note que je ne m’en plains pas ! ajoute-t-il à voix basse en se penchant vers moi.
    
    Que se passe-t-il ? Voilà qu’il me fait la cour ! Qu’il découvre que j’ai des fesses et des seins ! Et ce frisson. Son regard. Nouveau tout ça ! Qu’est-ce qui lui prend ? Et à moi ?
    
    Presque nue ? C’est vrai, je le réalise, cette robe est très légère… et je ...
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