Le labyrinthe
Datte: 15/05/2019,
Catégories:
fh,
couple,
copains,
amour,
volupté,
BDSM / Fétichisme
intermast,
entreseins,
Oral
pénétratio,
jeu,
init,
Auteur: Laure et JP, Source: Revebebe
... Un gage ? Ah non ! Tu as triché, j’avais dit avec les dents et rien d’autre ! proteste-t-il.
— Pas du tout ! Tu bandes, et ça, ce n’était pas prévu au contrat !
— Ben voyons ! À te voir, comment veux-tu que je ne bande pas ! Bon, tu veux quoi ?
— Simple. Tu vas dire bonjour à ma foufoune, mais je garde le string !
— Hein ? Tu veux que… s’exclame-t-il, feignant la surprise.
— Oui, et gare à toi, tu me fais ça dans les règles. Allez !
Cette fois, ce sont les hormones qui parlent. Du sérieux maintenant, pour adultes seulement ! Et, n’y tenant plus, nous roulons au sol. Sa tête se précipite entre mes cuisses que j’ouvre largement. Ah ! Que c’est bon ! Enfin ! Sa langue furète, me lèche, joue avec le clito, force l’entrée de ma grotte secrète s’y aidant d’un doigt qui me fouille. De mes deux mains je lui maintiens la tête, l’invitant à un contact plus appuyé. C’est divin. Marc souffre, souffle, à demi asphyxié par mes cuisses qui l’emprisonnent. Ah ! le cochon, il sait y faire ! Puis ses doigts s’aventurent sur ma rosette, la lubrifiant, tentant une percée… « Non, pas ça ! gémis-je, plus tard », pas prête du tout à ce jeu, bien que j’y aie pris un plaisir furtif. À présent, me tenant les fesses fermement, il semble vouloir me boire, sa bouche m’absorbant entièrement le bas-ventre, des pulsations m’indiquant que je dois dégouliner à tout va… Ah ! il doit être beau mon homme, la figure inondée ! Mais à ce rythme je vais jouir rapidement, et ça non, c’est trop tôt.
D’un ...
... coup de reins je me libère et le bascule sur le dos tout en me précipitant vers sa bouche, ses joues, que j’essuie à coup de langue, goûtant mon propre plaisir. Hum ! Délectable… « Grosse cochonne… » me jette-t-il, ravi, alors que là aussi c’est pour moi une première. Puis, toujours gourmande et curieuse, je veux revoir de plus près les attributs du monsieur. « Bouge pas, t’as été parfait, à moi ! » lui dis-je en caressant la tente formée par son slip. Délicatement, je libère le monstre. Dressé vers son ventre il est magnifique, orgueilleux et me semble énorme. Un « must » dans ma courte vie sexuelle. D’une main puis du bout des lèvres, j’inspecte chaque centimètre carré, de l’autre main je palpe ses boules, pleines, prêtes à se vider. Il gémit, attend la caresse suprême.
Je n’ai jamais trop aimé ça, mais là, l’envie de le prendre en bouche est trop forte. J’arrondis les lèvres et doucement prends le gland, l’agace des dents. Marc se tord. Trop bon de le voir ainsi, livré à mon bon vouloir. Je descends pour l’engloutir complètement en y mettant de la salive. Il me remplit jusqu’au fond, je hoquette, manque le repousser. C’est chaud, gros, doux, vivant. Gémissements, sa main qui m’attire la tête. Au fond de ma gorge, où je déglutis pour provoquer des effets magiques, son sexe palpite, près de la délivrance si j’insistais. Mais non, je le veux en moi, plus tard. Me dégageant, je me lève et l’aide à en faire autant.
— Dis donc, t’es une experte ! commente-t-il. Où as-tu ...