1. Une tranche de vie : 5


    Datte: 13/05/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Maceron, Source: Hds

    ... bas du manteau, AL me laisse faire. Je glisse une main vers son intimité, elle écarte les jambes, ferme les yeux et me laisse la caresser. Nous sommes arrivés à notre niveau.
    
    Arrivé dans la chambre, je laisse tomber mes encombrants bagages pour prendre AL dans mes bras et s’en suit un long et tendre baiser. Je lui enlève son manteau et elle m’apparaît très désirable dans sa tenue excitante. Je l’embrasse dans le cou, ce qui la fait frissonner, elle prend ses seins et me les tend, je les embrasse, suce les mamelons durs et pointus, pendant que ma main gauche glisse vers son entrejambe et commence à caresser ses grosses lèvres gonflées et humides. AL sert les cuisses, bloque ma main et me dit : « Déshabilles toi, dépêches toi, j’ai envie de toi »
    
    Elle se laisse tomber sur le lit, gardant ses bottes, porte jarretelles et bas, elle écarte les jambes : « Viens, je t’attends ». Je me dépêche de me déshabiller, mais trouvant certainement que je ne vais pas assez vite AL met ses mains sur son ventre et lentement descend vers son minou et écartant encore plus les jambes elle prend les lèvres de sa chatte et les écarte en disant : « Regardes je suis ouverte, viens me remplir, vite… »
    
    Je me positionnais entre ses cuisses et sans autre préparatif m’enfonçais en elle, ce qui était facile tant elle était ouverte et lubrifiée. Je m’enfonçais jusqu’au plus profond de son intimité. Elle m’accueillit avec un AHHHHHH de satisfaction. C’était peut-être un peu cavalier et un peu brutal, ...
    ... mais, au son, il était certain que AL avait appréciée cette pénétration rapide, elle était tellement ouverte et humide, que tout fut facile. Il ne fallu pas longtemps pour l’entendre gémir de plaisir, se contracter, se tendre, m’enserrer des ses cuisses et avoir un puissant orgasme qui me fit me vider en elle en plusieurs coups de reins, un peu brutaux, mais libérateurs.
    
    L’hôtel avait plusieurs restaurants, Al avait choisi le restaurant chinois. Pendant que je prenais une douche pour me délasser de ce voyage en train, AL s’habillait dans la chambre.
    
    Gardant porte jarretelles, bas et bottes elle avait mis un corsage, pas transparent, mais plutôt translucide, laissant transparaitre discrètement, quelque fois, les aréoles de ses seins qui pointaient à travers le tissu. Je crus qu’elle ne portait pas de SG. Elle avait mis une jupe noire serrée ou plus tôt collante et très courte, enfin qui lui arrivait à mi-cuisse. Elle était sexy au possible, on pourrait même dire à la limite de l’exib.
    
    AL : « Ma nouvelle tenue te plait ? Je l’ai achetée pour toi, pour nos retrouvailles. Maintenant je me demande si la jupe n’est pas un peu trop courte ? »
    
    Moi : « Il est vrai que si tu sortais dans la rue ainsi, tu risquerais de déclencher une émeute. Surtout si on imagine que tu ne portes aucun dessous. »
    
    AL : « D’abord je ne suis pas nue sous mes affaires. Je suis venue te chercher nue sous mon manteau pour te faire plaisir, c’était l’occasion. En fait je n’aime pas me sentir nue ...
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