1. Une tranche de vie : 5


    Datte: 13/05/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Maceron, Source: Hds

    ... sous mes habits et honnêtement quand je suis sortie des toilettes à la gare après m’être déshabillé, j’avais l’impression que tout le monde me regardait. Drôle de sentiment. Je vais me changer. »
    
    Moi : « Non, nous ne quittons pas l’hôtel, tu vas faire sensation au restaurant. Viens, on y va. »
    
    Comme nous quittions la chambre et qu’elle se dirigeait vers l’ascenseur, je lui dit : « T’a vraiment un joli cul »
    
    AL : « On ne peut pas dire que tu as le compliment galant ! »
    
    Moi : « Tu as un joli cul, je te le dis. »
    
    AL « Tu aurais pu dire tu as une démarche élégante »
    
    Moi ; « Bon, tu as une démarche élégante, ce qui te fait un joli cul »
    
    Al : « On n’en sortira jamais »
    
    Moi : « Dis-moi que tu n’aimes pas de mettre en levrette pour me montrer ton joli cul ? »
    
    AL : « Ce n’est pas la même chose »
    
    Nous arrivions à l’ascenseur, AL avant d’appuyer sur le bouton d’appel, se retourna et me dit : « Malgré tout, j’aime quand tu me dis que j’ai un joli cul, j’aime quand tu veux que je sois en levrette et j’aime quand tu veux le prendre et, … »
    
    L’ascenseur arriva et n’étant plus les seuls dans l’ascenseur la conversation s’en arrêta là.
    
    Diner terminé, la remontée en ascenseur fut trop courte pour tenter quoique ce soit. Retour dans la chambre, elle se laissa tomber sur le lit, bras et jambes écartés et me dit : « Viens, j’aie envie de toi, viens »
    
    Je me couchais à coté d’elle, et tenais à vérifier ses dires, étant persuadé qu’elle ne portait pas de SG, ...
    ... en fait elle portait un SG ½ seins. Elle avait raison mais je n’avais pas tort, car l’effet était pratiquement identique au fait qu’elle n’en porta pas. Donc, je lui enlevais son SG et je prenais entre pouce et index les pointes de ses seins qui commençaient à durcir et les tournais dans un sens et dans l’autre en les serrant un peu, plus ses aréoles subissaient ce traitement plus ses seins se durcissaient et plus AL gémissait. Jusqu’au moment ou chassant mes doigts, AL se prenait en main, enfin prenait ses seins et s’occupait de les caresser. C’était le moment pour moi de m’occuper de sa chatte. Je plongeais donc entre ses cuisses qu’elle écarta encore plus, ce qui fit remonter encore sa jupe et en l’aidant un peu apparu son string. Un petit triangle de tissu moulant ses grosses lèvres, tenu par une espèce de ficelle, enfin pratiquement rien.
    
    « Tu vois que je n’étais pas nue »
    
    Elle avait raison elle n’était pas nue sous ses vêtements, mais ce qu’elle portait ou rien, mais enfin elle avait raison.
    
    Elle resserra les cuisses, ce qui me permit de lui enlever. A peine fut-il enlevé qu’elle écarta de nouveau les cuisses, laissant un libre accès à son minou dont je m’empressais de m’occuper. À peine mes lèvres sur ses grosses lèvres, la respiration s’accéléra légèrement. Je les suçais, les tétais et les aspirais. Je savais qu’elle appréciait ces jeux de bouches sur sa chatte, dont les lèvres gonflaient et commençaient à s’humidifier sérieusement La pression montait et ...
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