1. Une tranche de vie : 5


    Datte: 13/05/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Maceron, Source: Hds

    ... 1 mois outre-mer au Tobega pays de l’Afrique de l’ouest au bord de l’océan. De retour, au lieu d’atterrir à Paris, je devais m’arrêter à Bordeaux pour un rendez-vous. Puis prendre le train pour rejoindre Paris. AL, venant de province devait m’attendre à la gare Montparnasse. Je l’avais averti que j’étais en queue du train et qu’une roulette de ma valise était cassée. Je ne pus sortir rapidement, tant et si bien que ne me voyant pas arriver, AL remontât les quais et me trouva trainant lamentablement mes bagages. Je lui expliquais la chose, mais je remarquais que AL avait des nouvelles bottes vernies à hauts talons, mais et surtout était enveloppée dans un gros manteau et elle portait un grand sac.
    
    C’était le printemps, je lui demandais : « Tu es couverte comme un oignon, tu as tellement froid ? Est-tu enrhumée ?»
    
    AL : « Non tout va bien. »
    
    Moi : « Tu es bien la seule à porter un manteau d’hiver »
    
    AL : « Je craignais d’avoir froid »
    
    Moi : (en plaisantant) « Avec un tel manteau tu n’as besoin de rien en dessous»
    
    AL avec un petit sourire en coin : « C’est vrai et c’est cela»
    
    Moi : « Quoi ?»
    
    AL : « Rien, je n’ai rien en dessous. Surprise ?»
    
    Moi : « Tu veux dire que tu es nue sous ton manteau »
    
    AL : « Ce n’est pas ce que tu voulais, je l’ai fait pour te faire plaisir »
    
    Moi : « Je veux voir. Je ne crois que ce que je vois … »
    
    AL : « Bien sur, voir : oui, mais pas touches ! »
    
    Nous étions dos à un poteau, AL jeta un regard à droite puis à ...
    ... gauche, comme nous étions les derniers sur le quai, elle ouvrit grandement et rapidement son manteau. L’aperçu fut rapide, mais effectivement elle ne portait qu’un porte jarretelles tenant ses bas, rien d’autre.
    
    J’en étais estomaqué, peut être que notre mois d’abstinence l’avait poussé à faire cela, pour être plus désirable ou simplement pour me faire plaisir et m’exciter … ?
    
    Moi : « Mais tu es venue ainsi depuis l’hôtel ? Ce n’est pas croyable. »
    
    AL : « En fait non, j’ai enlevé mes dessous et ma robe ici. Tout est dans mon sac »
    
    Je lui dis qu’après un tel spectacle, j’avais besoin de toucher pour me convaincre de la réalité des faits. Elle rechigna juste pour le principe et je crois qu’elle attendait cette demande. De nouveau un coup d’œil à droite puis à gauche, toujours rien, elle ouvrit son manteau, mais m’y attendant je réussi à me glisser dans l’ouverture pratiquée. AL surprise referma le manteau, mais j’étais dedans et je l’attirais contre moi. Elle était chaude. Je lui caressais un peu les hanches, le dos. Elle s’était collée à moi et me dit :
    
    AL : « Arrêtes, stp, arrêtes, j’ai envie de toi, mais arrêtes, on va à l’hôtel »
    
    Mais avant de m’arrêter je glissais quand même une main entre ses jambes et caressais un peu son intimité. Ce qui ne fit qu’augmenter son impatience.
    
    On prit la file d’attente, le taxi et l’hôtel. AL s’étant déjà inscrite, il n’y avait que la clé à prendre. Ascenseur pour le 15ème étage, nous avions quelques secondes. J’entrebâille le ...
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