Alicia et son papa (14)
Datte: 13/05/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
... mauvais et irrite ma peau. Dire qu’un couturier italien a fait défiler des mannequins à Milan en robes taillées dans des sacs à patates ! Bon, ils devaient être mieux coupés, et doublés aussi. Là, c’est une vraie guenille en toile émeri qu’il m’oblige à porter, ce vieux salaud. Une journée à porter ce truc, je vais trouver le temps long.
On toqua à la porte et Marine entra ; elle salua respectueusement le patron avant de se tourner vers moi, méprisante. Un sourire méchant barra alors son visage mince. Elle s’approcha de moi à pas lents et souleva mon menton. Pieds nus, j’étais encore plus petite par rapport à elle.
— Tu ne ressembles plus à rien, pauvre demeurée. Tu es moche et sale, tu n’es qu’une truie.
Je ne répondis pas, mais je sentais les larmes sourdre aux commissures de mes yeux. Marine se tourna enfin vers le patron.
— Monsieur, la truie ne peut entrer dans le magasin ; je me débrouille comment ?
— J’ai embauché un homme qui doit arriver sous peu. Il est costaud et remplacera Alicia. Garde un œil sur elle, fais-lui faire du nettoyage et punis-la si tu juges qu’elle travaille mal. Sois impitoyable, elle ne mérite plus la moindre complaisance.
— Je peux la battre ?
— Bien sûr. Tous ceux qui en auront envie pourront venir la battre, même le nouveau, s’il est bien. Pour ça, ...
... voici une courroie en cuir, elle mesure un mètre de long. Tu t’en serviras à discrétion. Et vous pourrez utiliser sa bouche, aussi. Ses autres orifices sont interdits. Préviens-moi si Alicia se plaint, je t’enverrai Hamid et Babacar pour lui faire passer l’envie de recommencer.
Vingt minutes plus tard, à quatre pattes avec interdiction de me lever, je passais la serpillière dans le local meubles. Je la tenais à mains nues, tirant le seau d’eau derrière moi au fur et à mesure. Je sanglotais parce que Marine était déjà venue deux fois pour passer sa rage sur mon postérieur à grands coups de sangles. Je n’avais pas le droit de rabattre le sac sur mes fesses pour les cacher, Marine les voulait pleinement accessibles. Après ses rossées à toute volée, elles devaient être carminées, le feu et la douleur irradiaient dans tout mon corps.
Trois hommes entrèrent dans la pièce, marchant dans un secteur que je venais juste de nettoyer ; je risquai un coup d’œil prudent : les deux vigiles accompagnaient un homme que je ne connaissais pas, grand, sec, mal rasé et les cheveux noirs frisés. Je baissai la tête, les oreilles brûlantes. Ils passèrent derrière moi, je rougis encore plus en pensant à l’image que je leur donnais malgré moi : mes fesses durement marquées et le gros plug d’acier planté dans mon anus.