1. Alicia et son papa (14)


    Datte: 13/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... la bite à coups de langue, puis je pus m’asseoir pour prendre mon petit-déjeuner. Au moment de partir, alors que j’ouvrais la porte d’entrée, papa m’appela depuis la cuisine.
    
    — Ali, viens ici. Baisse ton jean et appuie-toi contre le mur.
    
    Inquiète, je le vis prendre une cravache d’équitation en cuir noir tressé ; il la fit siffler plusieurs fois, n’ignorant pas que je me crispais à chaque sifflement. Le premier coup me surprit et je poussai un cri aigu. Aussitôt, papa me réprimanda.
    
    — Ali, je ne veux pas t’entendre ; tu n’es pas habituée à la cravache et c’est ma faute. La marque sera plus fine que celle d’une ceinture, très reconnaissable parce que le cuir est tressé. La douleur est aussi plus vive, plus concentrée ; évidemment, elle dépend de la puissance mise, et je suis sûr que tu n’as pas envie que je frappe plus fort.
    
    — Non Monsieur. Continuez, s’il vous plaît, reniflai-je.
    
    Ce matin-là, je partis travailler en pleurant, car mes fesses étaient en feu sous le tissu rugueux de mon jean. Selon l’habitude prise, j’allai directement au bureau du Directeur qui me cria d’entrer. Il était seul cette fois, et lisait sur écran en plissant les yeux ; je me déshabillai après avoir bredouillé un « bonjour » gêné. Puis je me mis en attente, mains croisées dans le dos, tête légèrement baissée.
    
    — Ainsi, ton père t’a proposé de ne plus travailler chez moi et tu as refusé. Bien sûr, tu viens ici pour glander à longueur de journée et faire des dégâts, tu aurais tort de ...
    ... t’en priver sachant que tu touches un salaire à la fin du mois.
    
    Cette fois, je refusai d’entrer dans son jeu ; je bouillais intérieurement, mais je n’essayai pas de nier. Ce serait peine perdue, je le savais.
    
    — Comme souvent, les feignasses dans ton genre sont des voleuses, tu seras fouillée avant de partir. Et aujourd’hui, tu porteras cette tenue pour travailler. Comme ça, les employés qui te surveilleront pourront te coller de bonnes fessées, à la main ou avec ce qu’ils veulent, pour t’apprendre à vivre. Marine en particulier a à cœur de te dresser.
    
    Monsieur Rodriguez me montra du doigt un côté de la pièce ; j’aperçus une masse informe de tissu beige sur une chaise à quelques mètres de moi. Je m’approchai et n’en crus pas mes yeux : c’était un vieux sac à patates en toile lâche à grosses mailles de jute, rugueux et poussiéreux. Un trou grossier avait été pratiqué pour passer la tête, les deux côtés étaient fendus de haut en bas.
    
    — Mets ta tenue de travail ; tu vois, il y a même une corde pour serrer la taille. Je pense à tout. Allez, essaie, que je voie si c’est la bonne dimension. Parfait, pas trop long, bien aéré. Tu as l’air d’une souillon, alors tu n’iras pas en magasin.
    
    Le tissu très rêche était désagréable, mais je n’avais pas d’autre choix que de nouer ma ceinture improvisée pour tenir les pans flottants. Ainsi, mes fesses étaient presque à découvert tellement le sac était court. Je grimaçai de dégoût.
    
    Mon Dieu, le sac n’a même pas été lavé ; il sent ...