Alicia et son papa (14)
Datte: 13/05/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
— Tu es tombée raide hier soir, tu m’as fait peur. Comme quand tu étais petite, quand ta fièvre montait brutalement, pour une grippe, une angine, ou toutes les saloperies de maladies qu’attrapent les enfants.
— Je me rappelle, papa. Monsieur.
— Ce n’est pas si vieux, Ali. Tu étais si posée, si sage... Tu veux qu’on arrête tout ? Qu’on recommence comme avant ?
Je le regardai, ébahie.
Il veut revenir en arrière, papa et sa fille chérie, les sorties ciné le samedi, les soirées devant une série télé, les matinées VTT ou footing le dimanche, les discussions devant notre pâtisserie préférée. Et mon travail ? J’ai failli oublier Monsieur Rodriguez et ses sbires, les brimades et punitions qu’ils m’infligent. Et pourtant, eux non plus n’y vont pas de mainmorte !
— Pour ton travail, comprit-il, tu devrais le quitter, bien sûr. Si tu le souhaites, j’avertirai Monsieur Rodriguez et tout s’arrêtera là.
— Mais... Tu n’es pas heureux, comme ça ? Tu n’es plus triste comme avant, tu souris même des fois, quand tu crois que je ne te vois pas. Je ne veux pas que tu sois malheureux, papa.
— D’accord, mais... et toi, dans tout ça ? Tu es heureuse ?
Je plissai le front, essayant de faire le tri dans mes sentiments.
— Je mentirais si je disais que je suis tout le temps heureuse de ce qui m’arrive. C’est souvent dur, à la limite du supportable quand j’ai mal. Le plus difficile à supporter, c’est les injustices et les humiliations. Mais je ne nous vois pas revenir en ...
... arrière, c’est juste pas possible. Monsieur.
— D’accord, je ferme la parenthèse. Sors du lit, position d’inspection debout.
Je bondis du lit et me postai au centre de la chambre, pieds écartés d’un mètre environ, mains sur la tête, bouche grande ouverte. Papa tourna autour de moi, rectifiant ma position avec de petites claques.
— Bien. Tes fesses sont un peu mieux, mais pas de néoprène dessus aujourd’hui. Tu porteras seulement le plug en acier. Tu partiras avec au travail. J’avertirai ton patron que tu as demandé à être traitée plus durement, comme la feignasse écervelée que tu es. Je te dois une punition pour hier, je n’ai pas oublié ; et tu ne perds rien pour attendre. Vu ?
— Oui Monsieur.
— Je vais à la cuisine, tu me rejoins après ta douche, avec le plug en place. Tu finiras ce que tu as commencé.
Il me tendit l’énorme plug en métal que j’avais porté quelques jours plus tôt, une éternité me semblait-il. Je dus user de patience et de force pour arriver à l’enfoncer dans mon anus, mais il était planté dans mes reins dilacérés quand j’entrai dans la cuisine à quatre pattes. Je passai aussitôt sous la table pour emboucher la bite raide de papa qui buvait du café. Cette fois, il n’eut pas à m’aider pour avaler toute sa longueur : je déglutis et me projetai en avant jusqu’à avoir le nez dans les poils pubiens de mon père.
Je bataillai dix bonnes minutes avant d’obtenir ma récompense : une bonne dose de sperme qui emplit ma bouche. J’avalai en trois fois, nettoyai ...