1. Endormie contre moi


    Datte: 28/02/2018, Catégories: fh, frousses, rousseurs, amour, volupté, Oral pénétratio, Auteur: Ed Benelli, Source: Revebebe

    ... riant et en ébouriffa ses cheveux d’une main vive.
    
    Sans gêne, me regardant droit dans les yeux, elle lécha la larme de la pointe de sa langue, n’en effaça même pas le sillon brillant. Je lus dans ses yeux, qu’aucune question ne serait admise et de toute manière elle posa son doigt en travers de mes lèvres. Elle ne me laissa pas plus de temps.
    
    Elle tomba à genoux devant moi et défit d’une main trop habile mon pauvre jean délavé. Sophie le descendit jusqu’aux genoux et fit suivre à mon slip le même chemin. Ses sourcils roux s’arquèrent un instant, curieux et ses prunelles noisette brillèrent alors que sa main passait entre mes jambes pour saisir mon sexe et le presser entre ses doigts graciles.
    
    Je ne résistai pas et fut pris d’une fulgurante érection qui fit relever ma chemise. Alors qu’elle passait ses doigts tout autour de mon membre et débutait une lente et délectable masturbation, je retirai chemise et t-shirt et me laissai aller contre le mur, tout à mes soupirs qui semblaient la combler. Je sentis son souffle contre mon sexe et ses mains qui travaillaient efficacement, puis sa langue chaude.
    
    Bien vite, elle accéléra le tempo, mais j’avais bien trop peur d’écourter l’ébat. Ma main qui traînait dans ses cheveux descendit le long de sa tempe et lui releva le menton. Sophie comprit et se redressa.
    
    Heureusement, le salon était là, rien que pour nous et je la poussai sur la causeuse. Elle s’y laissa tomber en riant, de tout son long, sur le dos, les bras ...
    ... étendus. Je me jetai sur son corps offert, la débarrassai de son pull gris que je fis passer par-dessus sa tête. Sophie s’arc-bouta, offrant ses seins pleins à mes yeux, les courbes merveilleuses de sa gorge blanche et j’entendis ses ongles crisser sur le tissu, au moment où, d’une main je défaisais son soutien-gorge et de ma bouche je plongeais dans sa poitrine pour me délecter de sa peau.
    
    Amoureusement (et oui déjà) je pris une de ses mains dans la mienne, où elle tortilla ses doigts et plaquai l’autre sur ses côtes, laissant ma bouche s’emparer de ses mamelons l’un après l’autre pour en caresser les contours et les aréoles, les gober et les mordiller doucement, les titiller sans cesse.
    
    Elle gémissait faiblement et son souffle disait tout. Parfois, un hoquet ou un soupir, ou de longues respirations. Sophie communiquait avec tout son corps comme je lui faisais du bien et je n’avais de cesse d’entendre ces sons encore et encore.
    
    Lentement, ma main descendit le long de son buste pour rejoindre ses cuisses et les malaxer. Je passai entre elles et approchai mes doigts le long de son jean. Rendu à l’aine, je pressai plus fortement et finalement je caressai ce qui devait être son sexe à travers le vêtement.
    
    Son souffle s’était approfondi, son torse reposait sur la causeuse et sa main avait laissé la mienne pour caresser mes cheveux. J’avais une envie folle de la prendre. Toute la fébrilité de l’allée semblait soudainement avoir pris possession de mon cerveau et je me rendais ...