Laure et Annie - Histoires de Sexe

Laure et Annie

... car, comme tu sais, c’est là que nous les femmes, stockons le superflu.
— Et du superflu, j’en ai !
— Comment te sens-tu ? demande Laure.
— Ça va, je commence à m’habituer. Ça fait drôle au début, et puis le fait d’être nue dehors n’est pas désagréable.
— Ah ça c’est vrai ! dit Laure. Si je pouvais le faire plus souvent, je le ferais.
— Tu vas sur les plages naturistes ?
— Je n’ai pu y aller qu’une fois, mais il m’est arrivé aussi de profiter de l’absence de mes voisins pour le faire dans mon jardin. Penche-toi en avant, appuie-toi sur la table.

Annie s’exécute, Laure prend quelques photos tout en variant les cadrages.

— Tu n’as pas un si gros cul que ça, sinon je ne verrais pas ton minou.
— Ce n’est pas vrai, dit Annie en se redressant, tu le vois si bien que ça ? Tu ne l’as pas pris j’espère ?
— Bien sûr que si, je ne m’en suis pas privée ! J’aurais eu tort.
— Tu es culottée, quand même ! Ces photos n’ont pas de rapport avec mon régime.
— Et alors ? Cela n’empêche pas d’essayer des photos un peu artistiques. À ce sujet, tu pourrais m’en faire ?
— Des nus de toi ? demande Annie.
— Oui, car comme je t’ai dit, j’ai déjà essayé pour m’amuser, mais comme tu sais, ce n’est pas facile. Tu es d’accord ?
— Oui, mais je ne l’ai jamais fait.

Laure lui tend l’appareil.

— Tu veux maintenant ? s’étonne Annie.
— Oui, sauf si tu préfères qu’on remette ça à plus tard.
— Non, tu as raison.

C’est au tour de Laure de se dénuder. Elle le fait avec moins ...

... d’hésitation qu’Annie, ne cherchant pas à cacher ses seins quand ils apparaissent. Annie contemple la poitrine de son amie, elle convient que le spectacle est agréable. Il lui semble que les tétons sont durs, mais comme c’est la première fois qu’elle les voit, elle ignore si c’est leur état naturel, ou s’il faut mettre ça sur le compte d’une émotion, peut-être d’une excitation. Honteuse en elle-même, elle chasse vite cette idée de son esprit, tout en pensant que dans quelques secondes, elles vont être nues ensemble. Elle réalise qu’elle n’a même pas pensé à se rhabiller, et qu’elle se sent bien. Laure fait glisser son string. Très petit, il cache un minou presque entièrement épilé, à l’exception d’une petite bande de poils pubiens.

— C’est vraiment un ticket de métro, dit-elle en souriant.
— Oui, et il m’arrive parfois de ne rien avoir du tout, un peu comme toi.

Laure a prononcé ces paroles en dirigeant le regard vers le sexe de son amie. Annie est troublée que Laure la regarde ainsi, naturellement.

— C’est que je m’étais dit que sur les photos, ça ferait moche.
— Tu as raison, en plus il est joli. Tu as essayé de le photographier ?
— Non, ça ne m’est pas venu à l’idée.
— Tu veux ?

Annie ne sait que répondre. Elle laisse Laure reprendre l’appareil photo, puis cadrer sur son sexe. La situation lui cause un émoi certain, elle sent son sexe devenir chaud et humide.

— Si tu laisses tes jambes fermées, on ne verra pas grand-chose.

Laure a prononcé cette phrase d’une ...