1. L'escalier d'Escher


    Datte: 07/05/2019, Catégories: ff, fépilée, plage, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral mélo, consoler, Auteur: Claire Obscure, Source: Revebebe

    ... chose, une erreur que tu as faite.
    — Laquelle ? Dis-moi.
    — Tu t’es sentie gênée vis-à-vis de moi. Ça, je le veux pas. Je veux évidemment pas de ta pitié non plus ! De toi, je ne veux que trois choses ; non : quatre. D’abord, tu m’as sauvée la vie. Au moins une fois. Rien que ça, ça te donne le droit de me dire que je suis bête. Rigole pas ! C’est important pour la suite. Donc, petit un, je veux que tu me dises quand je déconne. Et tu dois considérer que je déconne dès que je ne suis pas heureuse en ta présence. Petit deux, m’interromps pas ! Petit deux, je veux tes bras, dès que je les réclame.
    
    Val me serre très fort.
    
    — Voilà, c’est très bien comme ça. Petit c – et c’est le plus dur – je veux que tu continues à m’apprendre le bonheur. Et pour ça, je te demande… non : je te supplie de bien vouloir que j’habite chez toi. Je sais je t’en demande beaucoup ; j’aurais préféré que la proposition vienne de toi : je me serais sentie plus à l’aise.
    — Mais…
    — J’ai pas fini. Petit d, je veux… et non ! Tu n’auras pas le droit de me traiter de folle ; je veux que tu acceptes mon invitation au restau ce soir. Et que tu acceptes de jouer le jeu que je vais te proposer.
    — Mais…
    
    J’ai l’impression de rejouer la mauvaise scène avec Chloé, mais c’est si rigolo et si facile d’être de ce côté de la table de ping-pong !
    
    — Tu prends tout ou tu laisses tout. Bon, OK, je t’autorise à choisir entre un et quatre de mes vœux. Avec au moins « me dire quand je déconne ». Et les bras, ...
    ... aussi, c’est bien les bras ; t’es très douée avec tes bras. Moins qu’avec tes doigts, ceci dit. Et j’aimerais beaucoup vivre avec toi, aussi. Pour toujours : ça serait un bon début. Mais je veux pas te mettre la pression.
    — Donc je…
    — Oui, et si possible, on se dépêche : j’ai réservé à 21 heures.
    — Bon. Puisque je vois que j’ai le choix, je vais commencer tout de suite par te dire que tu déconnes.
    — Ça, je sais. Mais encore ?
    — Après un « petit deux », c’est « petit trois », pas « petit c ».
    — Je te l’accorde. Autre chose ?
    — Oui, Claire, mon amour… mon adorée… ma belle… ma douce…
    
    Val ponctue chacun de ses mots doux par un bisou : la bouche, les seins, le ventre, le sexe. Elle s’installe alors entre mes jambes ; la couverture la recouvre, mais ne m’arrive plus que jusqu’à mi-cuisses. Ses bras sont sur mes cuisses ; elle pose son menton sur ses mains croisées, appuyées sur mon pubis. Elle peut ainsi me regarder, droit dans les yeux, en louchant quand même un peu sur mes seins.
    
    — Avant d’accéder à tes autres demandes, je voudrais d’abord que tu me rassures.
    — Bien sûr, ma Valérie. Qu’est-ce que je peux faire ?
    — Est-ce que tu te souviens de ce qu’il t’est arrivé pendant ton « absence », après que je t’ai demandé de vivre avec moi ?
    — Oui. Et avant que tu me le demandes, je veux bien te le dire.
    
    Val hoche gravement la tête. L’effet sur l’œuf vibrant qui repose toujours dans mon vagin est intéressant.
    
    Je lui raconte tout, du moment où j’ai cru qu’elle appelait à ...
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