L'escalier d'Escher
Datte: 07/05/2019,
Catégories:
ff,
fépilée,
plage,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
intermast,
Oral
mélo,
consoler,
Auteur: Claire Obscure, Source: Revebebe
... grand « Haaaa ! » quand la nuisette lui caresse les fesses. Dans cette position, je ne peux manquer de voir sa chatte encore toute ouverte de plaisir. Je fais un pas de côté. Oui… c’est presque décent, vu sous cet angle.
— Bien. Tenue numéro 1 ; je fouille dans tes affaires, si tu permets.
Val est bien incapable de faire autre chose qu’un vague hochement de tête accompagné d’un grand sourire.
— Paire de chaussures à talons hauts ; toujours bien.
— Mmh, hmm !
Je prends ça pour un oui. La nuisette faisant office de robe, jouons l’originalité et optons pour une jupe. Pas trop longue, bien sûr.
— Oh non, il faut pas.
— Mais pas trop courte non plus, la coupé-je d’un ton un peu péremptoire ; je ne voudrais pas que Mademoiselle jouisse sans ma permissssssiooooooonnn. Oh, que c’était vicieux, ça !
Val a profité de ma fouille de ses placards et autres tiroirs pour récupérer la télécommande de l’œuf vibrant. Puissance maximale ! Val réduit un peu la délicieuse torture.
Je continue, envers et contre tout !
— Voilà, cette jupe est paaarrrf… aite. Grrr ! C’est pas du jeu !
— Oh, si ; je m’amuse beaucoup !
— Attrape, plutôt que de ricaner bêtement. Et j’enlève un point !
Je lui jette une jupe noire tout à fait en harmonie avec la mienne.
— Maintenant, je passe au sérieux. Où caches-tu tes dessous les plus sexys ?
— Tiroir du milieu.
— Bonne cachette. Mmm, mouais… Pas mal. Tiens, ils font le même chezPetit Bateau, non ?
— Aaayaa…
— D’accord, je ...
... plaisante plus ; je cherche. Oui, ça pourrait être pas mal… En plus, je crois me rappeler qu’un jour tu portais…
— Quoi ? Tu as trouvé quoi ?
Val ne voit pas ce que j’ai trouvé dans le tiroir, mais elle ne se plaint pas trop, vu que c’est mon cul qui lui bouche la vue.
— Deux secondes, ma grande. Tu avais bien un boléro à la soirée « Bises-Bizuth » de septembre ?
— Quelle mémoire ! C’était plutôt une veste boléro, mais oui. Dans l’armoire, là, m’indique Valérie. Je suis flattée que tu t’en souviennes !
— J’avais eu envie de m’acheter le même. Enfin, bien sûr, vu mes moyens financiers, c’était juste une envie…
Val se sent un peu gênée par ma remarque. Son appart’ immense – en tout cas pour une personne seule – dans un immeuble cossu, ses fringues de marque, tout ça lui rappelle sans doute que sa famille est très aisée alors que je ne peux vivre qu’avec une maigre bourse et ce qui me reste de l’héritage de mes parents. Coup de blues. J’aurai pu fermer ma grande gueule, quand même…
Je m’attends à recevoir une petite décharge de l’œuf vibrant. Ce sont les bras de Valérie qui m’entourent soudain. Valérie relève mes cheveux et m’embrasse sur la nuque. Plein de petits bisous tout doux.
— Je peux pas te ramener ta famille. Mais tout ce que je peux faire pour te redonner le sourire, je le ferai.
Je suis touchée par ses mots, mais je me crispe aussi. Si elle me propose de me donner ou de m’acheter des fringues, je ne vais pas le supporter. Je ne bouge plus, toujours ...